blague curé

Le paysan à la chorale du curé

C’est un paysan qui s’est inscrit à la chorale du curé et qui explique à son voisin :
– Ça, cré bon dieu, je n’regrette pas d’avoir été m’inscrire à la chorale du curé. Ah ça ! c’est drôlement bien ! Quand on y va, le curé, il est gentil, il nous sert un petit porto. Et puis il est bon, son petit porto… Les curés, comme qui dirait, ils se démerdent toujours pour avoir des bons trucs. Après, il nous sert un petit mousseux. De temps en temps, on s’en ouvre même une caisse… quand ce n’est pas un petit blanc du Poitou, alors c’est vous dire ! Pis pour finir, des fois, on s’tape un petit marc de Bourgogne…
– Mais alors, vous chantez quand ?
– Ben le soir, quand on rentre chez nous !

Le curé du village et le départ au Paradis

C’est dimanche, et le Père Barnabé a décidé de frapper un grand coup : à l’heure de la messe, il rentre dans le café du village et s’adresse à un des maris accoudés au bar (un de ceux qui n’ont pas accompagné leur femme à l’église) :
– Dis moi Gilbert, n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Si bien sûr Monsieur le curé, répond Gilbert.
– Alors mets-toi là contre ce mur.

Puis le père Barnabé s’adresse à un deuxième gars :
– Et toi Maurice, n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Ben… si mon père…, répond Maurice.
– Alors mets-toi là aussi contre le mur.

Enfin le père Barnabé s’adresse à Raymond, le mari de d’Henriette, celui « Qu’est un peu simplet » :
– Et toi Raymond, Dis moi, n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Ah ça non m’sieur l’curé !
– Quoi ? Tu veux dire qu’à l’heure de ta mort ça ne te feras rien de ne pas aller au Paradis rejoindre ta famille et tous ceux que tu aimes ?

Et là Raymond répond :
– Oh si, bien sûr. Si c’est pour quand je mourrai, ça va. Je croyais que vous formiez un groupe pour partir maintenant…

La blague du rabbin et du curé dans le train

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Un rabbin et un curé sont dans un compartiment de train. Le curé sort un sandwich au jambon et en propose au rabbin :
– Vous en voulez ?
– Mais voyons, certainement pas ! C’est du porc et vous savez bien que ma religion me l’interdit !
– Oh … vous ne savez pas ce que vous perdez !

Le train arrive en gare. Le rabbin est accueilli par sa femme. Le rabbin au curé :
– Votre femme ne vient pas vous chercher ?
– Mais voyons, certainement pas ! Je ne puis prendre épouse !
– Oh … vous ne savez pas ce que vous perdez !

Le baptême sans pleurs ni cris

Dans une église, un bébé vient d’être baptisé. Le curé s’approche de la maman :
– C’est la première fois que je baptise un enfant qui n’a ni pleuré ni crié.

Elle lui répond :
– C’est que nous l’entraînons depuis huit jours chez nous.
– Mais comment ? Demande le curé.
– Avec un arrosoir !