Le pape a décidé de prendre quelques jours de vacances loin du Vatican. Il dépêche un cardinal aux Seychelles pour organiser son séjour, puis prend l’avion une semaine plus tard dans le plus grand incognito.
Arrivé aux Seychelles, tout est parfait : le soleil brille, la mer est bleu turquoise, le cardinal lui a réservé un bungalow près d’une plage privée de sable fin. Très content, le pape visite le bungalow en hochant la tête de satisfaction, jusqu’au moment où il pénètre dans sa chambre. – Ah non ! dit-il en désignant le crucifix que le cardinal a cru bon de suspendre au-dessus du lit. Je vous avais dit que je ne voulais rien qui me rappelle le bureau !
Modèle d’hypocrisie, le faux dévot François Desrues empoisonne une mère et son fils. Quand, le 30 avril 1777, il est condamné à être roué vif et brûlé, Desrues marche vers l’échafaud avec la résignation des premiers chrétiens.
Devant le crucifix qu’on lui tend alors, il s’écrie : « Ô homme ! Je vais donc souffrir comme toi ! »
Un type avec un perroquet sur l’épaule entre dans un bar et s’adresse au barman : Le client : « un whisky siou plaît » Le perroquet : « et un Coca-Cola » (voix criarde)
L’homme sirote son whisky tandis que le perroquet attend toujours son Coca-Cola. Un peu plus tard : Le client : « un whisky siou plaît » Le perroquet : « et mon Coca-Cola » (voix criarde)
Encore une fois, le client boit son whisky tandis que le perroquet n’est toujours pas servi. Et le petit jeu continue ainsi une bonne partie de la soirée. A la fin, le barman excédé par la voix criarde du perroquet lui dit : « Si tu n’arrêtes pas, je te cloue au mur à côté du crucifix. »
Evidemment, le client recommande un whisky et le perroquet réclame un nouvelle fois son Coca-Cola. Le perroquet se retrouve donc, en moins de temps qu’il faut pour le dire, cloué au mur à côté du crucifix. Alors, le perroquet se retourne vers Jésus sur la croix et lui crie : « Toi aussi tu as demandé du coca ? »
Pour la première fois de sa vie, Marcel l’agriculteur peut partir en vacances. Il s’en fut voir Salomon, son meilleur ami, et lui tient à peu près ce langage : – Ecoute Salomon, c’est la première fois de ma vie que je peux partir en vacances. Pour les vaches, je les ai confiées à Martin. Mais j’ai encore un truc précieux et j’ai pas confiance dans les banques. Si je te le confie, tu me promets d’y veiller comme la prunelle de tes yeux ? – Pas de problème Marcel, mais c’est quoi ? – C’est ce petit coffret. Et il tend à Salomon un petit coffret, de la taille d’une boîte à cigares. – Tu peux partir tranquille, et passe de bonnes vacances !
Mais le Salomon, en cette période de sa vie, il crève de faim. Au bout d’une semaine, il ouvre le coffret et là, oh surprise ! c’est un Christ en or massif de bonne taille. Salomon se dit que c’est vraiment trop con de mourir de faim à coté d’un Christ en or massif. Il sort son canif, découpe un petit copeau, va le vendre au bijoutier et s’achète à manger pour la semaine.
Au bout d’une semaine, il a toujours aussi faim. N’y tenant plus, il découpe un autre copeau à un autre endroit, va le vendre, et s’achète à manger.
Et le Marcel rentre de vacances. Il file chez le Salomon lui demander son coffret. – Tu n’as pas perdu mon coffret, Salomon ? – Non Marcel, le voila. Marcel ouvre le coffret, regarde le christ et dit, mi surpris, mi étonné : – Il a pas maigri ? – Ecoute Marcel, tu m’as demandé de le garder, pas de le nourrir.