blague crimes

Le calibre du fusil

Une femme rentre dans une armurerie pour acheter un fusil. Elle dit au marchand :
– C’est pour mon mari.

Le marchand :
– Il vous a dit quel calibre il souhaitait ?

La femme :
– Vous rigolez ? Il ne sait même pas que c’est pour lui tirer dessus !

Le voyageur trompé

C’est un homme (en voyage outre-mer) qui téléphone chez lui et le domestique répond.
– Allô Nestor passe-moi Madame.
– Euh… c’est que Madame elle est dans sa chambre.
– Eh bien nous avons un appareil dans la chambre. Passe-la moi.
– Eh bien c’est que… elle est occupée. Elle est avec un autre Monsieur dans le lit.
– Bon. Alors écoute moi bien Nestor. Tu vas faire ce que je te dis. Tu va aller dans le boudoir et prendre mon fusil. Tu sais ou sont les balles ?
– Oui Monsieur.
– Eh bien tu vas aller dans la chambre et tu va les tuer tous les deux.
– Bien Monsieur.

Pendant ce temps, on entend 3 coups de feu et des bruits que Monsieur n’arrive pas à reconnaître.
– Nestor ! Qu’est-ce qui s’est passé ? J’ai entendu 3 coups de feu.
– Eh bien c’est que j’ai tué Madame et raté le Monsieur. Alors je l’ai poursuivi jusque dans la cour. Il a glissé et tombé dans la piscine. C’est là que je l’ai eu.
– Comment ? Quelle piscine ? Est-ce que je suis bien au 34.56.42 ?

La fuite des bandits

Revolver au poing, deux bandits sortent de la banque dont ils se sont fait remettre le contenu du coffre. Un complice les attend à la porte :
– Je n’ai pas réussi, leur dit-il, à voler une Mercedes pour assurer notre fuite. Mais, en menaçant des gamins, je les ai obligés à me laisser leurs deux planches à roulettes.

L’agression du présentateur

Dans une rue sombre, un homme, tenant à la main un revolver, ordonne à un passant :
– Ton portefeuille, et grouille-toi !

Soudain, les phares d’une voiture éclairent le visage du passant.
– Oh ! S’écrie l’homme au revolver mais je ne me trompe pas. Vous êtes BCBG, le célèbre présentateur du Journal télévisé.
– En effet.
– Je vous prie de m’excuser. Je ne vous avais pas reconnu. Pourriez-vous avoir l’amabilité de me donner un autographe ?
– Mais… avec plaisir. Je suis trop heureux de rencontrer un admirateur.

Le passant tire de sa poche un stylo Montblanc et écrit quelques mots au dos d’une de ses photos.
– Merci beaucoup, dit le malfaiteur. Et, maintenant, ajoute-t-il, aboule ton stylo !