blague crimes

La chambre à gaz portugaise

Le premier ministre portugais va inaugurer la première chambre à gaz du Portugal

Ils amènent le condamné à mort dans la chambre à gaz et celui-ci se met à rire … il a remarqué qu’il n’y a pas de toit !
– Ha ha ha !
– Pourquoi tu ris ? lui demande le premier ministre.
– Ils ont oublié le toit de la chambre à gaz !
– Oublié ? Tu riras moins quand tu recevras la bouteille de gaz sur la tête.

L’empoisonneuse de maris

C’est une femme qui passe aux Assises parce qu’elle a empoisonné son mari. Le procureur de la République tend vers elle un doigt accusateur et lui dit :
– Madame, votre acte était prémédité !
– Comment ? Quoi ?
– Vous avez fait exprès !
– C’est vite dit…
– Oui, c’était un crime prémédité ! D’ailleurs, dans la soupe de votre mari, il y avait quatre doses de poison. De quoi tuer quatre personnes normales !
– Mais c’est la faute de ce grand cochon, monsieur le procureur ! Qu’est-ce que vous voulez qu’ j’y fasse, il a toujours bouffé comme quatre !

Le belge et la Mercedes

Un belge vient passer ses vacances chez un ami qui habite en France. Celui-ci vient l’attendre à son arrivée à Roissy dans sa Mercedes flambant neuve.

Le belge prend place dans la voiture, très impressionné. Au bout de quelques kilomètres, il ne peut s’empêcher de demander à son ami à quoi sert l’étoile qui se trouve au bout du capot (c’était un belge d’une partie très très reculée des Ardennes…).

« C’est simple, lui dit le français, l’étoile, c’est un viseur. Quand je vois un policier, je vise, j’accélère, et je l’écrase. »

Le belge paraissant incrédule, le français lui dit un peu plus loin : « Tiens, en voilà justement un. Je vais te montrer. »

Aussitôt, le français fait mine de viser l’agent, et il accélère.

Au dernier moment, il évite le policier. Soudain, il entend un bruit sourd et un cri. Il tourne la tête vers le belge qui s’exclame :
« M’enfin, c’est fou ce que tu es maladroit, si je n’avais pas ouvert la portière, tu le ratais ! »

Le cambriolage canin

– La nuit dernière, raconte un banlieusard en arrivant au bureau, j’ai eu la visite de cambrioleurs dans mon pavillon.
– Ils vous ont volé quelque chose ?
– Rien. Sauf mon chien de garde.