blague cow-boy
La naissance de Las Vegas
Au temps de la conquête de l’Ouest, deux cow-boys aperçoivent, dans un coin totalement désert du Nevada, un Indien, installé devant une table pliante.
– Il y a un petit pois sous une de ces trois coquilles de noix, leur dit-il. Voulez-vous jouer un dollar à dix contre un pour deviner où il est ?
Le premier cow-boy risque un dollar et gagne. Le second en fait autant. Après quoi, l’Indien, dans le plus pur style du bonneteau, leur fait perdre à chacun dix dollars. Au moment où ils repartent, l’un des cow-boys interroge l’Indien :
– Ça a un nom, ce bled ?
– Oui. Las Vegas.
La blague de la mire du cow-boy
Un jeune cow-boy entre dans un saloon. Il dégaine et lance :
– Le premier qui m’emmerde, je lui fout une balle entre les deux yeux !
Un vieux cow-boy, qui en a vu beaucoup d’autres, lui dit très calmement :
– Lime ta mire…
Le jeune ne comprend pas, sort du saloon mais revient le lendemain, le surlendemain, tous les jours de la semaine qui suit et, à chaque fois, lance :
– Le premier qui m’emmerde, je lui fout une balle entre les deux yeux !
Le vieux cow-boy, toujours aussi calme, lui dit toujours :
– Lime ta mire…
Au bout de 10 jours, le jeune cow-boy demande au vieux cow-boy :
– Pourquoi me dis-tu toujours « lime ta mire » ?
– Parce que, moi aussi j’ai été jeune. Moi aussi je suis entré dans un saloon, comme toi, et moi aussi j’ai dit des conneries comme les tiennes. Et puis un jour, un groupe de vieux cow-boys m’a sauté dessus, ils m’ont pris mon flingue et me l’ont enfoncé dans le cul… Alors, un bon conseil : lime ta mire !
La blague du cow-boy qui n’aimait pas un gars
Ça se passe au Texas du temps des cow-boys à grands chapeaux, à grandes bottes et à pistolets.
C’est un vendredi après-midi sous un soleil de plomb dans la rue principale d’un petit village lors d’un marché. Deux cow-boys se baladent dans la foule.
John dit à Bob :
– Tu vois le gars là-bas je l’aime pas.
– Lequel ?
– Ben celui avec un grand chapeau.
– Mais tout le monde a des chapeaux !
– Mouais.. bon celui avec des grandes bottes.
– Mais tout le monde a des grandes bottes.
– Mouais… bon celui avec 2 pistolets à la ceinture.
– Mais… tout le monde a 2 pistolets à la ceinture !
– Attends…
John sort ses 2 pistolets et tire sur toutes les personnes se trouvant sur la place. C’est un vrai massacre, les paisibles citoyens tombent les uns après les autres. Il n’en reste qu’un.
John :
– Tu vois le gars qui reste ?
– Ben ouais.
– Et ben, tu vois ce gars j’l’aime pas !