Dans un petit village, une coutume ancestrale consistait à formuler un vœu tout en jetant une pièce de monnaie dans le « Puit aux désirs ». Un jour, le maire fit placarder cet avis :
« En raison d’une pollution de la nappe phréatique, l’eau de ce puits est devenue impropre à la consommation. La municipalité dégage donc toute responsabilité en ce qui concerne la réalisation de vos souhaits ».
Selon diverses ONG, 1 à 2% de la population de la République Islamique de Mauritanie seraient réduits en esclavage (une pratique pourtant officiellement abolie depuis 1981)
Soldats Mauritaniens : « – Bah, n’exagérons rien, il s’agit juste d’une coutume folklorique. D’ailleurs, nous allons demander à l’Unesco un classement au patrimoine de l’humanité… Une fois qu’on aura retrouvé le formulaire.
– Allez, va bosser, toi ! Tu veux donner une mauvaise image du pays ? »
(Caricature esclavage en Mauritanie – Dessin du 24 juillet 2020)
Il est de coutume dans cette famille, lorsque le patriarche décède, de le revêtir de son costume de mariage pour l’exposer sur son lit, avant la visite des voisins et amis. Or, impossible de trouver dans les armoires des chaussettes noires à sa pointure. Seule, une paire de chaussettes rouges peut faire l’affaire. Le soir, une voisine choquée, en fait la remarque à la famille :
– Vous n’avez aucun respect pour les défunts. Lui mettre des chaussettes rouges, c’est une honte !
– Et bien quoi, après tout, ce n’est pas lui qui est en deuil.
Dans un cimetière français, un Chinois dépose un bol de riz sur la tombe de son père. Le gardien qui passe par là s’approche de lui et demande :
– Quand pensez-vous que votre père viendra manger son bol de riz ?
– La même journée où votre père à vous viendra sentir les fleurs que vous avez placées au pied de sa tombe.
