blague cour d’assises
Le test micro judiciaire
Seul, dans la salle du Palais de justice où va se dérouler le procès d’un ignoble individu, le président d’une cour d’assises fait des essais de micro : « Allô, allô… 1, 2, 3, 4… Tout condamné à mort aura la tête tranchée… Allô, allô… C’était le bon temps… 5, 6, 7, 8… Un fumier pareil, je le pendrais par les oreilles… Allô, allô… Et son avocat avec, par-dessus le marché. Bon, ce micro a l’air de fonctionner… »
Nom d’une fellation !
Les perles : la justice
Devant la cour d’assises, un homme est accusé de viol. Un viol commis dans une voiture. Le président s’efforce, comme l’exige l’oralité de la procédure, de faire raconter la scène à la victime qui, terrifiée de peur, n’ose dire mot. Le président insiste, mais en vain, puis il finit par exploser : « Mais, nom d’une pipe, dites-le ce qui s’est passé ! » Fou rire général, quand le président comprend qu’il a tapé dans le mille, mais que la victime, hélas, restera désespérément muette.
…Que la raison ne connait pas
Les perles : la justice
Devant les assises de l’Hérault, Gilbert Pollet répond de vingt-quatre vols à main armée. Récidiviste, il risque la perpétuité. « Monsieur l’avocat général, monsieur le président, je vous aime. J’aime aussi les deux policiers qui m’entourent ! » lâche l’accusé. Après cette surprenante déclaration, les jurés ne lui infligent que dix ans de réclusion. L’amour a ses raisons…