François Fillon s’estime victime de « fuites »organisées par le pouvoir pour nuire à sa candidature. Le chef de l’Etat serait à la tête d’un « cabinet noir » pour attenter à François Fillon. Un cabinet noir pour contraindre d’accepter des costumes, de proposer des emplois fictifs ? (Caricature François Fillon – Dessin du 29 mars 2017)
Le patron d’un magasin de mode passe voir comment vont les affaires dans sa boutique. A peine arrivé, il constate que son vendeur porte un énorme bandage sur le bras, mais que malgré tout, il a l’air tout joyeux. En effet, il aborde son boss en disant : – Patron, vous allez être content : j’ai une excellente nouvelle ; vous savez, cet horrible costume caca d’oie que nous avions depuis 3 ans… eh bien je l’ai enfin vendu ! – Tu veux dire ce truc infâme, mal coupé et immettable ? – Oui, oui, parfaitement, celui-là ! – Waow, alors je te félicite. Jamais je n’aurai pensé que quelqu’un pourrait être intéressé par cette mocheté. Mais dis-moi, tu t’es fait mal ? Qu’est-ce que c’est que le bandage que tu portes à ton bras ? – Oh, ça… Quand il a vu son maître avec ce costume, son chien guide m’a mordu.
Gérard a décidé de se marier en costume. Le matin de la cérémonie, son tailleur lui apporte la veste et lui promet de livrer le pantalon plus tard : – Impossible, dans une heure, je serai à la mairie ! – Ce n’est rien ! Vous n’avez qu’à mettre un pantalon ordinaire pour la cérémonie civile et je vous apporterai l’autre à la sortie de la mairie.
Lorsqu’il sort de la mairie, le tailleur lui donne son pantalon. Comme il y a foule et qu’il ne peut se déshabiller en public, Gérard enfile purement et simplement son pantalon de costume sur l’autre.
Hélas, au moment de tendre les alliances au curé, il se rappelle qu’il les a laissées dans une des poches de son pantalon du dessous. N’ayant pas d’autre solution, il commence à se déculotter.
Toute cramoisie, sa jeune femme s’exclame : – Mais enfin, que fais-tu, tu es fou ? – Ecoute, je n’ai pas le choix… Si tu veux qu’il les bénisse, il faut bien que je les sorte !
– Que font ces deux cheveux blonds, là, sur ton veston ? Hurle une femme jalouse. – Heu… murmure son mari, c’est certainement une voyageuse du métro qui les a laissés tomber sur mon épaule en secouant la tête. – Ca ne serait pas, plutôt, ta petite mijaurée de secrétaire ? – Ah ! Non, certainement pas ! – Et qu’est-ce qui te permet d’être si affirmatif ? – Quand je fais l’amour avec elle, sur le tapis de mon bureau, je prends toujours la précaution de me mettre tout nu pour ne pas froisser mon costume.
C’est une femme qui vient de perdre 90% de son intelligence (son mari vient de décéder). Dans la famille, il est d’usage de se faire incinérer et non pas enterrer, alors la veuve dit à l’employé des pompes funèbres de prendre contact avec le crématorium.
La veillée funèbre a lieu, tout le monde vient bénir le mort, puis vient le moment de conduire le défunt jusqu’au crématorium pour l’incinération.
Là, Madame Veuve se rend compte que son mari est habillé d’un costume noir, alors qu’il a toujours détesté le noir. Par contre, le bleu était sa couleur fétiche. Du coup, la veuve s’adresse tout de suite à l’employé du crématorium et lui dit : – Tenez ! Voilà un chèque en blanc. Faites ce qu’il faut pour trouver un costume bleu pour mon mari. C’est extrêmement important !
Comme il n’est pas d’usage de contrarier les personnes dans le chagrin, l’employé dit qu’il va faire le nécessaire.
Un peu plus tard, pour la levée du corps, la veuve constate que l’employé est parvenu à trouver un costume bleu très joli. Elle lui dit alors toute sa joie de voir son mari dans un si beau costume et lui demande combien ce costume a coûté. L’employé répond : – En fait, ça n’a rien coûté. Une chose amusante s’est produite : Au moment où vous êtes partie, on apportait un autre corps, de sexe masculin, de la même corpulence que votre mari, et qui portait un costume bleu. J’ai alors demandé à la veuve de cet homme si cela ne la dérangeait pas de voir son mari incinéré en costume noir plutôt qu’en costume bleu. Elle m’a répondu que cela avait peu d’importance. Alors, comme elle était d’accord, j’ai inversé les têtes…