Un père Corse trouve que son fils, étudiant à Paris dépense trop d’argent il lui demande des comptes. Le fils répond : – Je dépense mon argent avec parcimonie et à bon escient, Papa !
Son père lui répond : – Ce Parcimoni, d’accord c’est un compatriote mais je ne veux pas d’un Arménien comme ce Bonnessian !
C’est l’histoire d’un Corse qui passe la frontière italienne et le douanier lui fait : – Ouvrez-moi le coffre arrière !
Le mec ouvre et il y a une chèvre dedans. – Qu’est-ce que c’est, ça ? C’est une chèvre ? – Non, c’est mon chien ! – Eh, dites, vous vous foutez de ma gueule ? Il a des cornes ! – Moi, vous savez, sa vie privée…
C’est un riche corse sur son lit de mort qui appelle ses fils pour savoir qui va hériter. Par tradition c’est le plus fainéant qui l’emportera. – Dominique monte je dois te poser une question…
Le fils monte. – Dominique, imagine que dans la rue tu vois un billet de 100 euros par terre, qu’est ce que tu fais ? – Je le ramasse pas, trop fatiguant. – C’est bien mon fils. – Paulo, monte toi aussi.
Le fils monte – Paulo, tu vois une fille superbe nue sur ton lit qui te tend les bras, qu’est ce que tu fais ? – Je lui fais rien, trop fatiguant. – C’est bien mon fils. – Antonio , monte. – Hé non, descend plutôt toi.
C’est un nouveau chef de service de l’équipement qui est muté en Corse est qui décide de faire la visite de sa nouvelle subdivision.
Il prend sa voiture et file la route. Arrivé à un croisement (il est 10 heures) il voit un vieux panneau de chantier tout rouillé et un peu plus loin un cantonnier assis à coté de sa brouette.
Il s’approche, se présente. Le cantonnier corse le regarde sans bouger : – Dites-moi mon ami quel est votre travail ? – Eh bien, ça se voit pas ? Je transporte le gravier de l’autre côté de la route..
Le chef regarde les 2 tas qui sont presque identiques et ajoute : – Vous devriez finir ce travail avant ce soir. – Avant ce soir ! C’est impossible ! – Mais depuis quand est ce que vous avez commencé ? – Ca fait 15 ans demain
Le chef devient tout rouge et balance en gueulant : – Mais c’est inadmissible vous foutez rien ma parole !
Le cantonnier met ses mains derrière la tête, s’allonge et ajoute : – Ola ! Ola ! Du calme, je suis fonctionnaire et je compte arriver à la retraite pas fatigué.