Un passant, entouré par trois prostituées qui lui proposent leurs services, leur dit : – Mesdemoiselles, je suis un peu embarrassé pour choisir entre vous. Alors, voilà ce que je vous propose. Vous allez me bander les yeux et je vais fouiller dans vos corsages, à tour de rôle, pour me décider en toute objectivité.
Une blonde marche dans la rue, le chemisier ouvert. Un policier s’approche d’elle et lui dit : – Madame, savez-vous que je pourrais vous arrêter pour indécence sur la voie publique ? – Mais enfin, ce n’est pas indécent ! – Madame, refermez votre corsage, s’il vous plaît, ou je vous embarque ! – Oh malheur ! J’ai oublié mon bébé dans l’autobus !
Une jeune femme terriblement enrhumée a pris la précaution d’emporter deux mouchoirs avant de se rendre à un grand dîner. Elle en met un dans son sac et l’autre, dans son corsage.
Au dessert, elle ne plus décemment se servir du premier mouchoir qui est ruisselant. Elle met sa main dans son corsage pour chercher l’autre. Mais il a dû glisser.
Elle fouille fiévreusement à droite et à gauche, tout le long de sa poitrine. Elle y met les deux mains. Et soudain, elle s’aperçoit que les conversations ont cessé et que tous les convives ont le regard fixé sur elle…
Alors elle retire précipitamment les mains de son corsage et elle dit en rougissant : – J’étais pourtant sûre d’avoir les deux en arrivant…
La jeune fermière est en train de traire une vache. Arrive à bicyclette un citadin. La conversation s’engage : – Vous n’avez pas peur de porter un corsage rouge ? demande aimablement l’homme de la ville. J’ai pourtant vu votre taureau dans l’enclos voisin, et il n’a pas l’air commode…
L’agricultrice se met à rire : – Le taureau ? Il ne risque point de venir par ici ! – Ah ! Et pourquoi donc ? – Parce que la vache que je suis en train de traire, c’est sa belle-mère !