blague contrôle fiscal
Le contrôle fiscal de l’agriculteur
Un agriculteur demande à sa femme :
– Je suis convoqué cet après- midi par l’inspecteur des impôts pour un contrôle fiscal. A ton avis, je mets mon costume du dimanche ou j’y vais en tenue de travail ?
– Ecoute, le François, je vais te répondre ce que m’a répondu ma mère le jour où je lui ai demandé si, pour notre nuit de noces, je devais mettre un pyjama ou une nuisette en soie : « Ma fille, tout ça n’a point d’importance la manière dont tu vas t’habiller parce que, de toute façon, tu vas y passer… »
La blague du recyclage des prépuces
Un contrôleur des impôts arrive un jour dans la synagogue d’un petit village pour un contrôle fiscal inopiné.
Le rabbin l’accompagne pour une visite des lieux.
– Alors dites-moi, Monsieur le rabbin, après avoir distribué votre pain azyme, que faites-vous des miettes ?
Le rabbin, bon enfant répond :
– On les rassemble précautionneusement, et on les expédie en ville où ils refont du pain avec et nous le renvoient.
– Hmmm… Et la cire des chandelles non brûlées ? Que faites-vous des restes ?
– Eh bien, c’est pareil : on récupère les bouts et on les renvoie en ville pour faire de nouvelles bougies avec, qui nous seront réexpédiées.
– Hmmm hmmmm… A propos, je me suis toujours demandé… continue le vérificateur, pour la circoncision, qu’est-ce que vous faites de tous ces bouts de prépuces ?
D’un ton neutre, le rabbin dit :
– On les envoie en ville.
– En ville ? questionne encore le contrôleur, et qu’est-ce qu’ils peuvent bien vous renvoyer en échange de ça ?
Et rapide comme la foudre divine, le rabbin le foudroie en disant :
– Aujourd’hui, c’est vous qu’ils nous ont envoyé !
Les peintures de Françoise
Un homme rend visite à un de ses amis, du style qui a bien réussi dans les affaires. Il le trouve dans son salon, armé d’une bouteille de térébenthine et d’un pinceau. Devant chacun de ses tableaux de maître, il s’arrête, efface la signature et la remplace par Françoise. A la place de Picasso, il inscrit Françoise ; à la place de Gauguin, Françoise ; à la place de Van Gogh, Françoise… L’homme est éberlué :
– Mais tu es fou, mon vieux ; tu es en train de saccager tes tableaux !
– Tais-toi, j’ai un contrôle fiscal la semaine prochaine, alors je mets tout au nom de ma femme…