blague congélation

La blague du froid en Alaska

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Ce sont trois ouvriers travaillant dans le terrassement pour la construction d’un pipeline de pétrole en Alaska. Leur logement à chacun est un baraque en tôle personnelle car dans la région, c’est encore ce qu’il y a de plus pratique.

Ils sont en train de faire la pause dans la baraque de chantier et se plaignent du froid qu’il fait dans leur baraque personnelle la nuit…

Le premier dit :
– Dans ma baraque, il fait si froid que quand je me verse un verre d’eau, l’eau gèle avant d’atteindre le verre.

Le second dit :
– Moi c’est pire : il m’arrive la même chose qu’à toi, mais c’est quand je me verse du café chaud dans une tasse !

Alors le troisième dit :
– Les gars, si vous voulez vraiment savoir ce que c’est qu’une baraque où il fait froid, venez donc dans la mienne…

Les voilà donc qui rentrent dans la baraque du troisième gars. Le gars leur montre alors une tâche sur la couverture de son lit. Puis il prend une paire de ciseaux et se met à découper cette tâche. Il dépose ensuite le morceau d’étoffe découpée près du radiateur et dit à ses potes de regarder et de faire silence…

Une minute plus tard, au moment ou l’étoffe se décongela, ils purent entendre un gros pet bien bruyant (suivi de son odeur bien sûr).

Poulet de canon avionique

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Dans le dernier numéro du magazine américain « Meat and Poultry », la rédaction cite avec délectation un article récent de la revue « Feathers », organe de la Fédération de l’industrie volaillère de Californie, où l’on conte l’intéressante (et véridique !) histoire suivante :

Il semble que l’administration aéronautique fédérale américaine (FAA) ait un moyen unique de tester la résistance des pare-brise d’avions. Le système est composé d’un pistolet qui lance des poulets morts sur lesdits pare-brise à la vitesse approximative d’un avion en vol.

La théorie est simple : si le pare-brise résiste à l’impact de la carcasse, il devrait survivre à une véritable collision avec un oiseau vivant.

Les anglais se sont montrés très intéressés et ont décidé ainsi de tester la résistance des pare-brise du modèle de locomotive à grande vitesse qu’ils sont en train de développer ; ils ont donc emprunté le lanceur de poulet américain, l’ont chargé et ont fait feu.

Le poulet sol-sol a explosé la vitre du train, traversé le fauteuil du mécano, défoncé la console d’instrument de bord avant de s’encastrer dans le panneau arrière de la cabine de pilotage.

Les anglais un peu surpris, ont alors demandé a la FAA de vérifier la validité de leur test.

La FAA s’est donc livrée à un examen de la procédure pour aboutir à la recommandation suivante :
« UTILISER UN POULET DÉCONGELÉ ! »