blague confessionnal

Le rôdeur de l’église

Dans une église, un homme rôde entre l’autel et les places assises… Le curé le voit exercer son manège et soudain se diriger vers le confessionnal dans lequel il s’enferme. Le curé prend place de l’autre côté de la grille et lance au quidam :
– Mon fils, je vous vois errer. Vous avez besoin de quelque chose ?
– Oh oui… Vous n’auriez pas un peu de papier ?

Les bons souvenirs

Une vieille dame entre dans le confessionnal où a pris place un jeune curé fraîchement arrivé.
– Mon père, j’ai commis une faute très grave : j’ai trompé mon mari.

Le prêtre, étonné de cet aveu dans la bouche d’une femme de cet âge, demande quelques précisions :
– Il y a combien de temps ?
– Il y a trente ans.
– Mais madame, il y a prescription, depuis le temps !
– Je sais bien, mon père, mais c’est tellement agréable d’en parler à quelqu’un !

La caissière de supermarché au confessionnal

La caissière d’un supermarché est furieuse d’avoir dû attendre pendant une demi-heure son tour devant le confessionnal. – Vous ne croyez pas, dit-elle au prêtre de sa paroisse, que l’église pourrait créer des confessionnaux spéciaux pour les fidèles qui n’ont pas plus de cinq péchés ?

La jeune fille au confessionnal

C’est une jeune fille qui vient prendre place dans le confessionnal. Elle se penche à la grille du parloir et commence :
– Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai pêché.
– Allez-y mon enfant, parlez, quel pêché avez-vous commis ?
– Mon père, j’ai commis le péché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique.

À ce moment là, le curé se penche à la grille et observe longuement la jeune fille, puis il lui dit :
– Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : ce n’est pas un péché, c’est simplement une erreur.