Un patient va voir son médecin après avoir effectué des examens : – Bonjour Docteur alors c’est grave ? – Et bien, vous avez la maladie de la VaViteMourir, et il ne vous reste plus beaucoup de temps à vivre… – C’est-à-dire, 1 an…? – humm…pff… – 6 mois…? – humm…pff… – 1 mois…? – humm…pff… – 1 semaine…? – humm…pff…
Le patient sort du cabinet du docteur, complètement démoralisé, c’est alors qu’il voit au loin un corbillard, il lève le bras et lance : – HEP ! TAXI !!!
Le père François se retrouve aux assises pour avoir tenté de trucider son ennemi de toujours, le père Mastard. Le père François est un caractériel irascible qui ne semble même pas regretter son geste. Le juge l’apostrophe : – Mais enfin, faites un effort, donnez-moi au moins une raison pour laquelle on ne devrait pas vous condamner à la peine maximale pour votre forfait !
Le père François : – Euh… Je peux avoir un peu de temps pour réfléchir ?
Une femme se réveille pendant la nuit et constate que son mari n’est pas au lit. Elle enfile son peignoir et descend voir où il est. Elle le trouve dans la cuisine, assis devant une tasse de café. Il paraît bouleversé et fixe le mur. Elle le voit essuyer une larme comme il avale une gorgée de café. – Qu’est-ce qui ne va pas chéri ?
Le mari lève les yeux de son café, il lui demande solennellement : – Tu te souviens, il y a 20 ans, quand on s’était donné rendez-vous, tu n’avais alors que 16 ans ? – Oui je m’en souviens… répond-elle.
Le mari fait une pause, les mots lui viennent difficilement. – Te souviens-tu que ton père nous a surpris en train de faire l’amour à l’arrière de la voiture ? – Oui je m’en souviens… dit la femme en s’asseyant à ses côtés.
Le mari continue : – Te souviens-tu, quand il a pointé son flingue sur ma tempe et qu’il a dit : ou tu épouses ma fille ou je t’envoie en tôle pour 20 ans. – Je m’en souviens aussi… répond-elle doucement.
Il essuie une autre larme et dit : – J’aurais été libéré aujourd’hui !
– Signez ici, dit le gardien de la prison qui accueille un nouveau détenu. – Impossible, proteste le prisonnier, je n’ai jamais su écrire. – Voyons, je lis, sur votre fiche, que vous avez été condamné pour faux et usage de faux. – Cela prouve une seule chose, c’est que j’avais vraiment un très mauvais avocat.