blague communistes
Gorbatchev et sa maman
Gorbatchev est au top et il se dit qu’il est temps que sa mère sache jusqu’où son fils est arrivé. Alors il envoie chercher sa maman avec son hélicoptère privé dans son village natal. Ensuite, il s’en va la retrouver avec une escorte de limousines sur la Place Rouge.
– Alors maman, comment ça va ? Tu sais que je suis vraiment content de voir que tu aie pu venir à Moscou. Viens, je t’emmène manger !
La maman de Gorby ne répond rien et elle suit gentiment son fils dans la voiture présidentielle. Ils arrivent dans le restaurant le plus renommé de tout Moscou. Ils sont servis par une escouade de serveurs, un orchestre vient leur jouer des airs slaves… C’est divin.
Mais maman Gorby ne dit toujours rien.
– Tu as aimé le dîner, maman ? Viens, je t’emmène dans ma datcha. Comme ça tu sauras où j’habite maintenant.
Un traîneau attelé à des rennes qui stationnait devant le restaurant les emmène en périphérie de Moscou, et s’arrête devant une somptueuse demeure bâtie sur une colline. Ils sont accueillis par le majordome qui les fait entrer dans la résidence présidentielle. Là ils retrouvent Raïssa.
Enfin, alors qu’ils sont sur la balcon, à admirer les lumières de Moscou, Gorby demande à sa maman :
– Alors quoi maman ?, tu n’as rien dit depuis que tu es arrivée ! Tu n’es pas fière de ton fils ? N’ai-je pas réussi ?
Et maman Gorby répond :
– Miki chéri. Tout ce que j’ai vécu aujourd’hui, tout ce que tu m’as montré, tout ce que j’ai mangé et bu… Tout cela est formidable. Oui vraiment Miki, je suis extrêmement heureuse pour toi… Mais Miki chéri, qu’est-ce qui va se passer si les communistes reviennent ?…
La blague de la remariée vierge
C’est l’histoire d’un mec qui vient de se marier. Si pour lui, la vie à deux est une expérience nouvelle, on ne peut pas en dire autant de sa dulcinée qui en est déjà à son cinquième mariage. Mais l’homme est très surpris le premier soir au lit car il s’aperçoit que sa femme est vierge…
– Dis donc chérie, ils étaient si moches que ça tes précédents maris ?
– Non, pas du tout. Je vais t’expliquer :
Le premier, c’était un pianiste, alors tu comprends ces artistes : tout avec les doigts.
Le deuxième, c’était un communiste, alors tu vois : des promesses, des promesses, des promesses…
Le troisième, c’était un avocat : des paroles, des paroles, des paroles…
– Et le quatrième ?
– C’était un socialiste.
– Et alors ?
– Et ben je l’ai eu dans le cul.