Une femme infidèle est en train de faire l’amour, dans la baignoire pleine de bulles de savon, avec son amant. Soudain, elle entend un bruit de clé dans la serrure. – Ça doit être mon ami sérieux, celui qui est si jaloux, qui arrive pour le week-end, s’écrie-t-elle. Voilà une occasion pour toi de vérifier combien d’heures tu peux rester sous l’eau, sans respirer.
C’est un gars très malade. Son fils l’emmène à la consultation à l’hôpital. Là, après les examens divers et variés, le spécialiste en mauvaises nouvelles lui annonce qu’il est en train de mourir du cancer, et qu’au stade où les choses en sont, autant faire l’économie d’un traitement !
En sortant de là, le père dit à son fils : – Ecoute, j’ai bien profité de la vie. Ce n’est pas si grave que ça, hein ? Allez viens, emmène-moi prendre un verre au café.
Et les voilà partis au troquet habituel. Sur place, le paternel rencontre plusieurs de ses amis, et il en profite pour leur dire qu’il est en train de mourir du SIDA….
Lorsque les amis partent, le fils demande à son père : – Mais enfin, pourquoi leur as-tu dit que tu avais le sida ? C’est le cancer que tu as ! – Je le sais bien, seulement je ne voulais pas qu’ils me fassent cocu après ma mort.
C’est deux gars qui discutent au bureau. Ils parlent de la nouvelle secrétaire qui vient d’être embauchée. Roger s’adresse à Robert : « Oh dis donc ! Hier alors que ma femme me croyait au match de foot avec les copains, je l’ai invitée à dîner et ensuite on est allé à l’hôtel. Ben je peux te dire qu’elle fait vachement mieux l’amour que ma femme ! »
Deux jours plus tard, Robert s’adresse à Roger : « A propos de la nouvelle secrétaire, hier moi aussi je suis sorti avec elle. On a été à l’hôtel ensuite et ben si tu veux mon avis, elle ne fait pas beaucoup mieux l’amour que ta femme. »
Au cours d’une soirée entre amis, un mari s’étonne d’avoir vu disparaître sa femme. Il explore toutes les pièces sans résultat et ce n’est qu’après plus d’une heure qu’il a l’idée d’ouvrir la porte d’une penderie. Là il découvre sa femme toute nue dans les bras d’un charmant jeune homme, guère plus vêtu. « Bravo, dit d’emblée, la femme à son mari. Mon chéri, tu as gagné une boîte de cigares en récompense de ta perspicacité. A présent, toi et monsieur allez vous cacher et c’est moi qui vais vous chercher. »
C’est une femme qui est à l’article de la mort. Son mari lui tient la main, près du lit. Le mari a des larmes qui coulent doucement le long de ses joues. Bref, c’est triste. La femme essaie de parler : « Chéri… »
Le mari l’interrompt : « Chut. Ne parle pas. »
Mais la femme insiste de sa voix fatiguée et chevrotante : « Chéri, laisse-moi parler. Je dois t’avouer quelque chose… »
Le mari, tout en sanglots : « Tu n’as rien à avouer. Tout va bien. »
La femme : « Non tout ne va pas bien. Il faut que je t’avoue une chose sinon je ne pourrai pas mourir en paix : je t’ai trompé ! »
Le mari alors lui sert la main avec affection et répond : « Ne te préoccupe pas de ça. Je suis au courant. Pourquoi t’aurais-je empoisonnée sinon ? »