– Ça marche, ma chérie, votre travail au bureau ? s’inquiète une belle-mère. – Très bien. – Votre patron est gentil ? – Très gentil. Tenez, hier, il voulait absolument m’augmenter mais j’ai refusé. – Et pourquoi donc ? – Ça aurait fait ma septième augmentation depuis le début du mois, votre fils aurait pu avoir des soupçons.
C’est l’histoire de ce couple très dépensier qui n’arrive jamais à économiser pour prendre des vacances en Inde, ce dont ils rêvent tous les deux depuis longtemps.
Un jour, le gars a une idée : à chaque fois qu’ils feront l’amour, ils mettront un billet de côté dans une tirelire .
Un an plus tard, ils décident de casser la tirelire. Le mari compte les billets et dit : « C’est bizarre, à chaque fois qu’on a fait l’amour, j’ai mis des billets de 10 euros dans la tirelire, et ici je trouve des billets de 50 euros et d’autres de 100 euros… »
Et la femme répond : « Parce que tu penses que tout le monde est aussi pingre que toi peut-être ? »
Un V.R.P. fait du démarchage en pleine cambrousse. Il est déjà très tard, et, alors qu’il pensait rentrer à l’hôtel pour dîner et se coucher, sa voiture tombe en panne.
Malheureusement pour lui, il n’a pas de téléphone mobile et il n’y a pas d’habitation dans les parages. En fait, si, il y a cette ferme là-bas plus loin. Le V.R.P. décide de marcher jusque-là.
Sur place, le fermier et la très jolie fermière l’accueillent. Le V.R.P. demande à passer un coup de fil pour être dépanné par Peugeot assistance, mais le fermier lui dit qu’il n’a pas de téléphone. Par contre, très gentiment, le paysan propose au gars de l’héberger pour la nuit, et de tirer sa voiture son tracteur jusqu’au village voisin le lendemain matin.
Le V.R.P. accepte de bon cœur ; ils prennent le repas et dès 10 heures du soir, le fermier dit qu’il est l’heure de « faire un gros dodo ». Mais il ajoute : « nous n’avons qu’une chambre, aussi vous devrez coucher sur le canapé du salon ».
Après la toilette, tout le monde rejoint sa couche et s’endort. Enfin presque, car quelques minutes après s’être couché, le V.R.P. reçoit la visite de la fermière, en chemise de nuit, qui vient lui susurrer à l’oreille : – Faites-moi l’amour !
Le V.R.P. n’est pas sûr de l’attitude à avoir : – Mais votre mari est dans l’autre pièce, il va nous entendre ! – Rien à craindre de ce côté-là : Il dort comme une marmotte… Et pour lui montrer qu’elle dit vrai, elle le tire jusque dans la chambre maritale, tire les couvertures du lit et met à nu le postérieur de son mari, duquel elle arrache un poil d’un coup sec sans que celui-ci ne se trémousse le moins du monde !
Rassuré par tant de tranquillité, les amants s’en donnent à cœur joie et réinventent des positions du Kamasutra. Le ça-va-ça-vient dure une bonne heure, et alors que la femme semblait assouvie, elle se lève, va manger un bout de saucisson, se refait une santé, et revient voir son V.R.P. d’amour en lui disant : « Chéri, encore ! ». Le V.R.P. se demande si, à force, le mari ne va pas se réveiller. Une fois encore, la femme l’emmène dans la chambre prélever un deuxième poil de cul sans que cela ne crée l’ombre d’un frémissement. Et du coup le ça-va-ça-vient reprend de plus belle. L’opération se répétera une nouvelle fois par la suite, et finalement, les deux amants exténués repartiront dans leur draps respectifs pour terminer la nuit.
Le lendemain matin, au déjeuner comme on dit, le V.R.P. se retrouve en face du fermier et se sent un peu honteux. A ce moment-là, le fermier lui dit : – Tu sais mon gars, j’ai rien contre le fait que tu fasses l’amour à ma femme sous mon toit, mais est-ce qu’il fallait vraiment que tu marques ton score en me tirant les poils du cul ?
Ca se passe dans un urinoir public. Deux copains sont en train de vider leur vessie en sifflotant. Celui de droite regarde machinalement l’urinoir d’à côté et remarque l’énooorme bite de son pote. Il lui fait la remarque : – Dis-donc Rocco, c’est incroyable ! Comment fais-tu pour avoir une si grosse bite ?
Rocco rigole et répond : – Facile : Tous les soirs avant d’aller me coucher, je la frappe violemment sur le pied du lit trois fois de suite. Je t’assure que non seulement ça te maintient les corps caverneux en forme, mais en plus, ça impressionne les filles !
Le copain prend bonne note de la recette et décide de l’appliquer le soir même.
Avant de rejoindre sa femme sous les couvertures cette nuit-là, il fouette son appendice trois fois de suite sur le pied de lit… Il grimpe dans le lit sûr de lui et prêt à en mettre un bon coup, lorsque que sa femme dit, à moitié endormie et se frottant les yeux : – C’est toi Rocco ?
Samuel et Rachel viennent de fêter leur Noces d’or (50 ans de mariage).
Tous les invités sont partis maintenant et Samuel demande à celle qui l’a aidé et supporté toutes ses années : – Dis-moi Rachel, maintenant, tu peux me le dire. Est-ce que tu m’as déjà trompé ? – Pourquoi veux-tu savoir ça maintenant Samuel ? A quoi bon ? – Si Rachel. Dis-moi, je veux savoir ! – Bon. Puisque tu insistes… Je t’ai trompé trois fois. – 3 fois ? En 50 ans, ce n’est pas énorme. Raconte-moi quand cela était ? – Et bien la première fois, c’était quand tu avais 35 ans et que tu voulais monter ton commerce d’import-export. Tu te souviens ? La banque ne voulait pas t’accorder de prêt… Tu te rappelles qu’un jour, alors que tout semblait sans espoir, le directeur de la banque lui-même s’est déplacé chez nous et qu’il a signé les papiers sans poser aucune question ? – Oh Rachel, tu as fait ça pour moi ? Tu es une femme formidable. Dis-moi quelle était la deuxième fois ? – Tu te souviens quand tu as eu cette troisième crise cardiaque, et que la seule chose envisageable pour toi était de tenter ce quintuple pontage coronarien, mais que personne ne voulait réaliser l’opération ? Et tu te souviens que sans qu’on comprenne pourquoi, le Pr. DeBakey est venu des États-Unis pour faire l’opération lui-même ? C’est grâce à lui que tu es à nouveau en bonne santé. Et bien là encore… – Oh chérie. Tu m’as sauvé la vie. Quelle chance j’ai eu de t’épouser ! Et comme tu dois m’aimer pour t’être sacrifiée comme ça, sans hésiter… Et quelle était la troisième fois ? – Tu te souviens quand tu voulais être Président du Lion’s Club et qu’il te manquait 35 voix pour passer…