Une femme va consulter son psychanalyste pour de sérieux problèmes sexuels. Après lui avoir posé pas mal de questions, le psy ne parvient toujours pas à cerner ce qui ne va pas. Finalement, il lui pose cette question : – Avez-vous déjà regardé le visage de votre mari pendant que vous faîtes l’amour ? – Oui, ça m’est arrivé une fois. – Et de quoi avait-il l’air ? – Il semblait très en colère !
Le psy continue : – Ah, voilà qui est intéressant. On va explorer cette piste. Maintenant, lorsque vous dites que vous n’avez vu le visage de votre mari qu’une seule fois pendant que vous faisiez l’amour, ça semble assez inhabituel. Dites-moi, est-ce qu’il s’est exprimé ? Est-ce qu’il vous disait quelque chose ? – Ah ça, je ne pourrai pas vous le dire. Quand ça s’est passé, il était dehors et il regardait à la fenêtre.
L’autre jour, c’était la dernière tournée du facteur avant son départ à la retraite : trente ans qu’il nous distribuait le courrier par tous les temps, et toujours avec le sourire. Alors tous les gens du quartier s’étaient passé le mot, et tous avaient décidé de « marquer le coup ».
Lorsqu’il arriva à la première maison, il fut congratulé par les parents et les enfants. On lui offrit une coupe de champagne et une petite enveloppe.
A la deuxième maison, ils lui offrirent une boite de cigares.
A la troisième maison, c’était un billet pour un concert de Madonna.
A la quatrième maison, c’est une ravissante jeune femme blonde en chemise de nuit transparente qui l’attendait : elle le prit par la main et l’emmena dans la chambre où ils firent l’amour passionnément…
Au bout d’un moment, le facteur qui était resté un fonctionnaire modèle, pensa qu’il était temps qu’il reprenne sa tournée. La blonde lui dit alors : – Ne partez pas : je vous ai aussi préparé un bon petit déjeuner !
Et effectivement, sur la table de la cuisine l’attendaient du café, du chocolat, du lait, des croissants, des céréales, du jus d’orange, des œufs au bacon, etc. Ravi car son estomac criait famine après les galipettes qu’il venait de faire, notre homme en profita pour se régaler. Il allait enfin prendre congé quand il remarqua une pièce d’un euro dans la soucoupe de sa tasse de café : – Ce que vous avez fait pour fêter mon départ est vraiment formidable, et je vous en remercie du fond du cœur… Mais je ne comprends pas bien ce que fait là cette pièce d’un euro ?
Alors la blonde répond : – Hier soir, quand j’ai dit à mon mari, que c’était votre dernière tournée et qu’il serait bien de vous faire un cadeau, il m’a répondu : « Donne-lui un euro et qu’il aille se faire foutre ! »… Le petit déjeuner, c’était mon idée.
C’est un gars qui adore aller à la pêche, et tous les week-ends sont consacrés à sa passion. Quelque soit la météo, il part titiller la carpe ou le brochet.
Pourtant, ce week-end là, il fait tellement mauvais avec de la grêle et de la pluie, que notre pêcheur renonce et rentre à la maison.
Lorsqu’il arrive chez lui, il est à peine neuf heures, alors il se déshabille et va rejoindre sa femme qui est encore au lit. Il se couche auprès d’elle dans le noir et il dit : – Pffff quel temps horrible aujourd’hui, chérie.
Et sa femme lui répond : – Ouais. Et mon idiot de mari qui est encore parti à la pêche.
Au moment où les policiers emmènent un bandit qu’ils viennent d’arrêter, la femme du voyou lui dit : – Oh ! Chéri, si tu dois être parti pour une dizaine d’années, au cas où j’aurais des enfants, en ton absence, dis-moi tout de suite quels prénoms tu aimerais me voir leur donner.