La condamnation du fou
Le fou du roi égaie la cour, le roi et les ministres. Un beau jour, il fait une blague sur l’amant de la reine.
Le roi, outré, le condamne à mort. Les ministres supplient le roi d’être clément, car ce fou les a fait rire depuis 30 ans et a rendu leur vie agréable. Le roi décide :
« Je ne peux revenir sur ma décision. Ce fou a dépassé les bornes. Il reste condamné à mort. Tout ce que je peux concéder, c’est de laisser au fou le choix de la façon dont il mourra. »
Le fou, joyeux, réplique :
« Si votre majesté n’y voit pas d’objection, je voudrais mourir… de vieillesse. »