blague clochard

La liberté de la cloche

C’est un clochard complètement ivre, qui pisse contre le mur de la mairie. A ce moment, un policier l’interpelle.
– Il est interdit d’uriner ici !

Le clochard répond :
– Vous ne savez pas lire ? (liberté, égalité, fraternité). « liberté », je pisse où ça me plaît, « égalité », tu est libre d’en faire autant…

Et le policier lui demande :
– Et fraternité ?

Le clochard lui répond :
– Ben, tu serais un pote si tu me la tenais…

Se nourrir de bouse de vaches

Un clochard rencontre son copain et lui dit :
– Oh la vache ! Qu’est-ce que j’ai bien mangé hier !
– Comment t’as fait ?
– Eh ben ! J’étais dans la cour d’une ferme à la sortie de la ville, et j’ai ramassé un crottin de cheval pour le manger. Alors le fermier est venu et il m’a dit : « Vous n’allez tout de même pas ingurgiter ça ?! Venez donc à la cuisine, je vais vous donner à manger. » Et là, il m’a servi du lard, du saucisson et du bon coup de rouge !

Son copain se dit que c’est une très bonne idée et il décide de faire pareil le jour même. Alors il se rend dans une ferme à l’autre bout de la ville, il ramasse une bouse de vache séchée et fait mine de la porter à sa bouche. A ce moment, le fermier arrive et s’écrie :
– Arrêtez donc malheureux ! Vous n’allez quand même pas manger cette vieille bouse toute séchée !!! Venez avec moi à l’étable là-bas, il y en a des toutes fraîches.

L’argent du clochard

Un mendiant, assis sur le trottoir, a disposé devant lui, à l’intention des généreux donateurs, quatre vieux chapeaux portant chacun une inscription :
« Pinard », « Bouffe », « Tabac » et « Baise ».
– Choisissez vous-même, dit-il aux passants : A quoi préférez-vous que je gaspille votre argent ?

Comment changer de chaussures

– Tu as vu mes godasses, dit un S.D.F. à un compagnon de misère. Elles n’ont plus de semelles.
– Je vais t’en faire avoir des neuves, promet l’autre, mais il faut attendre 3 heures du matin.
– Tu connais un marchand de chaussures ouvert à 3 heures du matin ?
– Non, mais je connais des gens qui veulent dormir à cette heure-là. Alors, voici le truc. Tu t’installes en bas d’un immeuble-tour et tu te mets à hurler : « Miaou, miaou», jusqu’à ce que les locataires, excédés, tentent de faire fuir ce qu’ils prennent pour une chatte en chaleur, en lui lançant tout ce qui leur tombe sous la main. Le plus souvent, c’est une chaussure. Et c’est bien le diable si au petit matin, avec ce système, tu n’en trouves pas deux de la même teinte et parfaitement à ta pointure.