blague cinéma

La queue du cinéma

Une longue queue s’étire devant un cinéma des Champs-Élysées. De façon tout à fait malencontreuse, un spectateur écrase les doigts de pied d’une personne derrière lui… L’homme pousse un horrible cri de douleur, une dame qui se trouve à côté de lui se penche pour voir ce qui se passe… Et c’est à cet instant que le premier homme lève le bras et enfonce son pouce dans l’œil de la malheureuse qui gémit à son tour…
– Permettez-moi de vous présenter ma femme, dit l’homme au pied écrabouillé, par chance nos enfants ne sont pas avec nous…

Le cinéma russe

Un Russe reçoit un ami français chez lui :
– Vous, en France, vous critiquez beaucoup notre régime, dit-il à son invité, pourquoi ?
– Mais parce que, ici, en Russie, vous n’avez pas beaucoup de libertés, par exemple.
– Et quelles libertés nous manquent ?
– Toutes ! Tiens, la censure est très puissante ici ! Qu’est-ce que vous pouvez voir au cinéma comme films ?
– Mais nous voyons tout. Il y a deux catégories de films. Ceux qui sont autorisés aux moins de dix-huit ans et ceux qui sont autorisés pour les Russes.

Le jeune premier juif

Un producteur de cinéma a décidé d’engager un jeune comédien juif pour son premier grand rôle.
– Comment vous appelez-vous, mon petit ?
– Jacob Abramanovitch, monsieur le producteur.
– Aïe, aïe ! Mais il vous faut absolument un pseudonyme, mon pauvre ami !
– C’est déjà un pseudonyme, monsieur…

L’art des belgicismes

Avant de partir en vacances à Paris, un Belge se fait à lui-même la leçon : éviter les belgicismes, parler un français des plus corrects…

Au cours d’une soirée chez des amis parisiens, la conversation porte sur le cinéma.
– Et vous, monsieur Van de Velde, demande la maîtresse de maison. Quel est votre film préféré ?

Le Belge réfléchit quelques secondes puis répond :
– « Il était dans l’Ouest ».

Le chien qui pleure

Un type va voir « Lassie, chien fidèle » au cinéma. Comme il est arrivé en retard, il va s’asseoir dans le noir, et remarque au bout de quelques instants que son voisin pleure à chaudes larmes. Il le dévisage et s’aperçoit avec stupeur que son voisin est un chien !
– Dites donc, dit-il en se penchant vers le maître du cabot, c’est extraordinaire, ce chien qui pleure comme ça, au cinéma…
– Oui, répond ce dernier. D’autant plus qu’il n’avait pas du tout aimé le livre.