blague cimetière

La blague de Dieu le punk

Un punk entre dans un salon de coiffure et s´assoit à côté d´une bonne sœur… Après l´avoir dévisagée, il lui demande si elle ne voudrait pas faire l´amour avec lui ! Horrifiée, la sœur se lève et quitte immédiatement le salon.

Le coiffeur, témoin de la scène, dit au punk :
– Si tu veux sérieusement coucher avec elle, je connais un moyen infaillible. Rends-toi au cimetière à minuit et fais-toi passer pour Dieu, elle ne pourra pas résister.

Le punk se rend donc à minuit au cimetière, déguisé d´un grand drap blanc et d´une barbe. La religieuse est effectivement là, en train de prier.

Le Punk surgit soudain et lui dit :
– Je suis Dieu ! Si tu souhaites vraiment que tes prières se réalisent, tu dois t´unir à moi en couchant avec moi.

Après un petit moment de réflexion, la religieuse lui dit :
– D´accord, mais comme je tiens à demeurer vierge, faites ça par l´arrière.

Alors le punk, tout heureux, prend la sœur et la sodomise… Puis, tout de suite après, fier de lui, il se lève, enlève le drap et son déguisement et dit à la religieuse en ricanant :
– Ah ! Ah ! Coucou ! Je ne suis pas Dieu ! C´est moi, le punk !

Alors la sœur enlève son voile et dit :
– Ah ! Ah ! Coucou ! Je ne suis pas la religieuse ! C´est moi, le coiffeur… !!!

La blague de la mort de Beethoven

Beethoven vient de mourir. On l’enterre dans le cimetière municipal.

Quelques jours plus tard, le curé passant par là entend comme de la musique qui émane du tombeau de Beethoven.

Apeuré, le curé s’en va chercher le maire du village. Celui-ci accoure avec quelques adjoints. Le maire colle son oreille contre le sol, écoute pendant un moment puis il dit :
– On dirait que c’est la neuvième symphonie de Beethoven, mais jouée à l’envers…

Il écoute un peu plus longtemps, puis ajoute :
– Maintenant c’est la 8ème symphonie, mais jouée à l’envers elle aussi !

Un peu plus tard il dit :
– Et maintenant, c’est la septième… la sixième… la cinquième…

Soudainement, le maire se relève avec un sourire et s’adresse à la foule qui s’était agglutinée autour de la tombe :
« Mes chers concitoyens, il n’y a dans cette manifestation rien de grave, et vous pouvez rentrer chez vous sereinement… C’est Beethoven qui décompose. »