blague chier

La blague de la constipation religieuse

Une religieuse entre dans une épicerie et demande une bouteille d’armagnac.
– Je ne sais pas si je dois vendre de l’alcool à une religieuse, objecte le commerçant qui est très catholique.
– Mais, réplique la sœur, c’est le seul moyen de guérir la constipation de notre mère supérieure.
– Effectivement, admet l’épicier, c’est un cas de force majeure.

Il tend à la nonne une bouteille soigneusement enveloppée dans un sac de papier et lui recommande de ne rien dire à personne.

Une heure plus tard, le brave homme baisse son rideau de fer et rentre chez lui. En chemin, il aperçoit la religieuse ivre morte sur un banc public, la bouteille d’armagnac vide à la main. Il s’approche.
– C’est du joli, ma sœur ! Vous m’aviez dit que cette bouteille était destinée à soigner la constipation de la mère supérieure. Quand je pense que je vous ai crue…
– Mais, hips ! c’était vrai, balbutie la religieuse. Quand elle… hips ! Quand elle va me voir rentrer… hips ! vous pouvez être sûr que ça va chier.

La blague de Toto qui présume

Une maîtresse d’école demande de faire une phrase dans laquelle il y a l’expression « je présume ».

Une petite fille dit :
– Hier, Maman lavait la vaisselle à la main, je présume que le lave-vaisselle était en panne.
– Très bien, dit la maîtresse.

Un petit garçon dit :
– Ce matin, papa est sorti du garage avec la Volkswagen, je présume que la BMW ne voulait pas démarrer.
– Bravo!

Toto lève la main du fond de la classe.
– Hier, j’ai vu grand-père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous le bras, je présume que…
 – Je t’arrête, dit la maîtresse, parce que là, tu ne savais pas du tout ce que ton grand-père allait faire, et tu ne peux rien présumer.
– Maîtresse, laissez-moi terminer ma phrase, dit Toto.
– Très bien, vas-y, dit-elle.
– Donc, comme je viens de vous le dire, j’ai vu mon grand-père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous son bras. Je présume qu’il allait chier, car il ne sait pas lire !