Un artiste vient d’être engagé par le directeur d’un cirque pour son numéro avec son chien savant. Après avoir signé le contrat, l’artiste demande : – Pouvez-vous me prêter votre portable ? – Bien sûr, je vous en prie… Appelez qui vous voulez ! – Ce n’est pas pour moi, c’est Médor qui veut annoncer la bonne nouvelle à sa famille !
Simon ne se lasse pas de vanter dans tout le Sentier les capacités exceptionnelles de son chien. – Il est formidable : tous les matins, il va au kiosque à journaux et me ramène Ha’Aretz en me rendant la monnaie. Il sait aussi tenir le magasin quand je vais boire le thé et je pense même l’apprendre à jouer aux échecs ! – Ton chien est formidable, lui dit Abraham, je t’en offre 500 euros ! – 500 euros ?! Mais tu es fou ! Je ne le céderai pas à moins de 5000 euros ! – Je t’en propose 2000… – Allez, je te le laisse à 3000 et n’en parlons plus.
Et voilà le chien de Simon qui se retrouve chez Abraham. Deux semaines plus tard, Abraham croise à nouveau Simon : – Dis moi Simon, qu’est-ce que c’est que cette arnaque ? Ton chien que tu m’as vendu à prix d’or, qui d’après toi faisait des miracles, eh bien il n’est bon qu’à manger, et dormir. Les seules fois où il veut bien se lever, c’est pour aller pisser. Alors, qu’est-ce que tu dis de ça ? – J’en dis que si c’est comme ça que tu parles de ton chien, tu n’arriveras jamais à le revendre !
Madame Blumenstein bat le rappel auprès de tous les amis de la famille : « Nous venons d’adopter un chien qui est extrêmement intelligent. Pourquoi ne pas venir nous rendre visite pour chabbat ? Vous pourrez l’entendre jouer du piano ! »
Chabbat arrive, et dans le salon des Blumenstein, les invités sont émerveillés lorsqu’ils peuvent voir et surtout entendre le brave Médor interpréter Chopin sans fausse note.
A tel point que madame Goldberg, un peu jalouse, avoue à son hôte : « Dis-donc Rebecca, tu dois être drôlement fière d’avoir un chien si doué !… »
« Oï, pas tant que ça… » répond madame Blumenstein, « C’est mon mari qui lui a appris le solfège. Moi je voulais qu’il fasse médecine ».
C’est un gars qui essaie de vendre son chien à son voisin : – Mon chien sait parler, j’te jure ! Et je te le vends pour 10 euros.
Le voisin lui répond : – Tu ne penses tout de même pas me faire croire ça ?
Et alors, tout à coup, le chien lève les yeux vers le voisin et dit avec les larmes qui lui coulent sur le museau : – S’il vous plaît Monsieur, achetez-moi. Cet homme est cruel, il ne me donne jamais à manger, il ne me lave jamais, il ne m’emmène jamais faire une ballade. Alors que moi, je suis le chien le plus rusé au monde, j’ai fait des tours devant les plus grands de ce monde, et j’ai même fait la guerre et on m’a décoré pour mes actes de bravoure. – Hé mais c’est qu’il parle vraiment ! Pourquoi veux-tu le vendre pour seulement 10 euros ? -Oh… Parce que j’en ai marre ! Il peut pas s’empêcher de mentir !
Quelque part à Montréal, au Canada, un fils dit à son père : « Papa, je veux aller étudier à la Sorbone en France. J’ai besoin de 5000 $ pour le séjour » Le père lui donne l’argent tout fièrement.
Le fils s’en va en France mais il ne va pas du tout étudier à la Sorbone. Il va plutôt dépenser son argent dans les casinos, le Crazy Horse et plein d’autres endroits du genre. Il ne lui reste donc plus d’argent. Il appelle son père au Canada et il lui dit : « Papa, j’ai découvert quelques choses d’extraordinaire en France à la Sorbone : J’ai rencontré un chien qui parle le français aussi bien que toi et moi. Envoie-moi 10 000$ pour que je le fasse connaître à la télévision. On va devenir riche et célèbre. »
Le père envoie l’argent en encore une fois le fils le dépense partout dans les casinos, au Crazy Horse et ailleurs. Il ne lui reste plus d’argent et rappelle encore son père au Canada. Il lui dit : « Papa j’ai trouvé encore quelque chose d’extraordinaire, le chien peut aussi parler l’anglais aussi bien que le français. Envoie-moi 10 000$ je vais le faire connaître en Angleterre. On va être riche. »
Le père commence à avoir beaucoup de soupçons, il n’aime pas bien ça mais il lui envoie quand même les 10 000$. Le fils dépense encore tout son argent aux mêmes endroits. Il ne lui reste plus d’argent mais il n’ose plus rappeler son père pour lui demander de l’argent. Alors il dit simplement à son père qu’il revient immédiatement en bateau.
Le fils arrive à Montréal où le père l’attend sur le quai mais il ne voit pas le chien qui parle les deux langues… Après avoir retrouvé son fils, il lui dit : – Alors, où est-il ce chien ? – Papa je vais te raconter, dit le fils. Nous étions sur le bord du pont du bateau et nous discutions ensemble moi et le chien. Le chien me dit « Au fait ! Ton père … Est-ce qu’il couche encore avec sa secrétaire ? » J’ai pris le chien je l’ai jeté par dessus bord à la mer
Le père dit : – Ah, mon dieu ! Que tu as bien fait !