blague chef
Le lapin et le chef serpent
C’est l’histoire d’un lapin qui à chaque fois qu’il passe devant le serpent lui dit : « salut chef ! ». Et cela dure des jours.
Un matin le serpent dit au lapin : « Mais je ne suis pas chef ! ».
« Ah bon ? », dit le lapin, « Pourtant t’as une petite tête, t’as pas de couilles, et tu rampes devant tous le monde ».
L’américain en excès de vitesse et le shérif adjoint
Dans l’Ouest américain. Un shérif adjoint un peu con arrête un automobiliste pour excès de vitesse. L’automobiliste pressé tente de se défendre :
– Mais, shérif, j’ai une explication, laissez-moi parler et vous verrez, vous me laisserez partir !
Le shérif répond :
– Taisez-vous ! Je vous emmène au poste. là vous attendrez bien sagement que le chef soit de retour !
– Mais shérif, ce n’est pas possible…
– Vous allez vous taire ! Je ne prendrai aucune décision sans l’accord de mon chef. On va aller l’attendre au poste.
Deux heures plus tard, le shérif adjoint s’adresse à l’automobiliste:
– Vous avez de la chance que le chef est au mariage de sa fille: Quand il va rentrer il sera de bonne humeur !
– Ne comptez pas là-dessus, répond l’automobiliste.
– Ah bon ? et pourquoi ?
– Parce que son futur gendre, c’est moi, et qu’en ce moment, tout le monde m’attend à l’église.
L’Allemand, l’Américain et le Polonais en Amazonie
Trois explorateurs sont en pleine jungle amazonienne : un Allemand, un Américain et un Polonais. Ils sont capturés par une tribu très belliqueuse.
Le chef de la tribu dit à l’Allemand : Vous allez tous être fouettés mais vous avez le droit de choisir une protection avant qu’on applique la sanction.
L’Allemand répond :
– Je prendrai des feuilles de bananier.
Alors on lui couvre le dos de feuilles de bananier, et le bourreau désigné commence à lui assener 10 coups de fouet. Lorsque la torture est terminée, l’Allemand est plié en deux de douleur.
Les membres de la tribu s’adressent au Polonais pour lui demander quelle est la protection qu’il désire. Le Polonais répond :
– Je n’ai pas besoin de protection !
Et le brave Polonais subit la torture sans broncher.
Lorsque les Américains interrogent l’Américain, il répond sans hésiter :
– Comme protection sur mon dos, je prendrai le Polonais…