« Il retira sa chaussure droite ainsi que sa chaussette, sorti un pot contenant une poudre de sa poche, versa un peu de cette poudre sur son pied et dans sa chaussure. Il expliqua ensuite en remettant sa chaussette puis sa chaussure, que ce traitement était à réaliser quatre fois par jour, et que c’était l’heure. »
« J’espère que vous n’aurez aucune difficulté pour exercer un recours et récupérer ce qui m’est dû. En effet, bien qu’il ne soit pas assuré, ce monsieur a les moyens : on dit qu’il est propriétaire d’une fabrique de chaussure qui marche bien. »
Un Israélien est assis entre deux Arabes dans un avion qui vole entre Jérusalem et Amman. Un peu nerveux (ça se passe en pleine guerre du Golfe et ses deux voisins n’ont pas l’air commode), il fait tout pour détendre l’atmosphère. Sans succès. Alors quand les deux Arabes lui demandent d’un air provocateur d’aller leur chercher deux jus d’oranges, il se lève pour aller les demander à l’hôtesse…
Pendant ce temps, les deux Arabes crachent dans ses chaussures. Il leur amène leurs jus d’oranges et le reste du vol se passe sans aucun problème.
Quand l’avion commence à s’approcher de sa destination, l’Israélien remet ses chaussures et sent l’infâme bave qui traverse le tissu et lui mouille la peau.
Il se tourne vers l’un de ses voisins : – Vous savez, si l’on veut qu’un jour le Moyen-Orient soit en paix, il faudra que les Arabes arrêtent de cracher dans les chaussures des Israéliens et que les Israéliens arrêtent de pisser dans les jus d’oranges des Arabes…