blague charme

La blague des Anglais en France

Trois Anglais, le grand-père, le père et le fils passent un week-end à Paris. Ils s’installent dans un petit hôtel particulier en compagnie de leur fidèle valet de chambre, prénommé John.

Le soir venu, vers 20 h, le fils quitte la maison pour aller vivre sa vie. Vers 20 h 30, c’est au tour du père de s’en aller… À 21 h, c’est le grand-père qui passe le pas de la porte…

Vers 2 h du matin, le fils rentre, visiblement satisfait. John l’accueille :
– Monsieur a passé une bonne soirée ?
– Excellente, mon cher John… Ah si vous saviez, ces Françaises, quelle beauté mais surtout quelle fougue !

Une heure plus tard, c’est au tour du père de réintégrer le domicile.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John… Ah ces Françaises, quel charme mais surtout quelle expérience !

À 7 h du matin, voici le grand-père qui met doucement la clé dans la porte.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John, s’exclame le pépé… Ah, ces Françaises, quelle jeunesse, quelle classe et surtout quelle patience !

Le mélange formidable

Deux copines discutent :
– Figure-toi que j’ai rencontré un type formidable.
– Ah oui ?
– Oui. Il a le charme de Frank Sinatra et l’intelligence d’Einstein.
– Oh la la ! Et comment s’appelle-t- il ?
– Frankenstein.

Le charme de George Clooney

Une jolie jeune femme, à la sortie du bureau, va s’asseoir dans un bar pour se détendre en prenant un verre. Tout à coup elle se frotte les yeux devant ce qu’elle croit être une apparition : George Clooney vient d’entrer dans le bar, tout sourire, décontracté, la classe !…

Il se dirige vers sa table, et s’assoit près d’elle, tout près… Il est sûr de son charme, mais encore faut-il entrer en matière…

Il fouille ses poches et s’aperçoit qu’il n’a pas un sou sur lui. Il s’approche encore plus près de la fille et lui murmure à l’oreille de sa voix de velours :
– Il me faut 100 euros dans l’immédiat. Et je suis prêt à faire n’importe quoi pour les avoir…
– Vraiment, vraiment n’importe quoi ? demande-t-elle.
– Oui, vraiment n’importe quoi ! lui dit-il les yeux dans les yeux.

La fille sort de son sac deux billets de 50 euros, un carnet sur lequel elle écrit son adresse, déchire la page et lui donne le tout :
– Tiens, voilà mon adresse. Quand tu auras fini de boire, tu viens chez moi et tu fais la vaisselle, la poussière et les vitres !