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Fourrer, pénétrer, décharger et jouir !

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C’est un curé qui monte en chaire un dimanche matin et dit à ses fidèles :
– Mes chers paroissiens, le titre du sermon de dimanche prochain sera : « Fourrer, pénétrer, décharger et jouir ». À dimanche prochain…

Le message s’est transmis durant la semaine, de bouche à oreille dans le village. Le dimanche suivant, l’église était bondée, il y avait jusqu’à trois rangées de personnes debout en arrière.

Arrive le sermon, le curé monte en chaire et dit :
– Mes très chers paroissiens, je vous remercie d’être venus en si grand nombre ce matin et, tel que promis la semaine dernière, le sujet spécial de ce matin est : « FOURREZ-VOUS bien dans la tête que pour PÉNÉTRER dans le royaume des cieux, il faut vous DÉCHARGER de vos péchés afin de JOUIR du paradis éternel. Amen.

PS : Pour avoir eu de mauvaises pensées, vous direz 1 Pater et 3 Ave.

La blague du pasteur infidèle

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Récemment, les autorités protestantes décidèrent de la création d’un séminaire de remise à niveau pour les pasteurs ayant plus de dix années d’exercice. Ces journées de formation furent l’occasion d’un cours de sermon qui fut assuré par le Pasteur Izé, véritable champion de la tchatche de réputation internationale.

Au cours de sa prestation, le Pasteur Izé monta en chaire, et capta instantanément l’attention en commençant ainsi son sermon :
« Les meilleures années de ma vie, je les ai passées dans les bras d’une femme qui n’était pas mon épouse ! »

La foule des pasteurs pousse alors un « Ohhh » d’indignation. Et le pasteur Izé en profite pour poursuivre : « Et cette femme, c’était ma mère ! » Et d’un seul coup, la foule des pasteurs part d’un grand éclat de rire.

Ayant capté l’attention des participants, le pasteur Izé poursuit alors son prêche sans interruption.

Une semaine plus tard, le pasteur Chupressé qui avait participé au séminaire était de retour parmi ses ouailles. Décidé à appliquer les nouvelles méthodes de communication qu’il venait d’apprendre, il voulu utiliser le même subterfuge que le pasteur Izé.

En montant en chaire, il tenta de se remémorer le jeu de mot, mais en ce dimanche matin, son esprit était encore obscurci. S’emparant du micro, il commença :
« Les meilleures années de ma vie, je les ai passées entre les bras d’une femme qui n’était pas mon épouse ! »

La foule rassemblée dans le temple pousse alors un « Ohhhh » d’indignation, comme convenu. Le pasteur Chupressé essaie alors pendant une bonne dizaine de secondes de retrouver la suite, mais abandonne finalement et dit :
« … Et je ne me souviens plus de qui c’était ! »