blague catholique

Le mariage mixte

On célèbre aujourd’hui un mariage œcuménique entre une juive et un catholique. Une vieille bigote demande à sa complice :
– À votre avis, est-ce qu’il y a plus de catholiques ou plus de juifs, aujourd’hui ?
– Pas difficile, vous n’avez qu’à compter le nombre de gens qui s’en vont au moment de la quête !

Catholique sexuel

Un pasteur se promène dans la campagne suisse, lorsqu’il croise un homme entouré d’une dizaine d’enfants.
– Bonjour mon ami, lance l’ecclésiastique. Ils sont à vous, tous ces charmants petits ?
– Bien sûr, monsieur le pasteur. Vous voyez, j’en ai eu onze…
– Belle famille, mon brave. Eh bien, dimanche, au temple, je vous appellerai pour lire les textes sacrés, en récompense…
– Ça, ça m’étonnerait, dit le promeneur.
– Et pourquoi donc ?
– Parce que je suis catholique, monsieur le pasteur. Je n’ai jamais mis les pieds dans un temple et je… Hé ! Où partez-vous comme ça ?

Le pasteur, déjà à une bonne dizaine de mètres de là, lance sans se retourner :
– Si vous croyez que je vais continuer à discuter avec un obsédé sexuel !

Relativisme catholique

Tyrannisé par sa femme, persécuté par ses enfants, martyrisé par sa belle-mère, un brave homme en a eu brusquement marre et a tiré dans le tas. L’une de ses balles a touché une bonbonne de gaz et une formidable explosion a soufflé sa maison… et les preuves de son crime. Rescapé par miracle, il touche même l’assurance-vie de sa défunte épouse et repart pour une nouvelle existence sans être autrement inquiété.

Pourtant, avec les années, le brave homme est saisi par le remords, et éprouve de plus en plus le besoin de se confesser. Comme il est protestant, il va voir un pasteur, mais celui-ci pousse des cris et le chasse ignominieusement du temple. Désespéré, il va voir un rabbin, mais celui-ci se bouche les oreilles et le maudit.

En désespoir de cause, il va alors se confesser à un curé et, une fois de plus, avoue son méfait.
– Mon père, j’ai tué…

Et, derrière la grille, il entend la voix paisible du prêtre lui répondre :
– Combien de fois, mon fils ?