Un type rentre dans un hôtel. Il voit un chien et demande au réceptionniste de l’hôtel :
– Il est gentil votre chien ?
Le réceptionniste lui répond :
– Oui, il est gentil. Le client caresse alors le chien, qui lui saute dessus et le mord !
Le client s’adresse au réceptionniste :
– Mais… Vous m’aviez dit que votre chien était gentil !
– C’est vrai, mais ce n’est pas mon chien…
C’est une dame qui se cherche un sac à main car on lui a volé le sien. elle entre chez un grand maroquinier , et là, la vendeuse lui présente un assortiment de sacs pour dames. Il y en a un qui lui plaît vraiment, petit parfait pour la ville et le soir.
La vendeuse lui dit :
– Vous avez raison madame c’est notre plus bel article.
– Quel est son prix ? Demande la cliente potentielle.
– 15000 euros.
– 15000 euros ! Mais c’est horriblement cher pour un petit sac de rien du tout !
– Peut-être, dit la vendeuse, mais ce sac est fait en vraie peau de bite humaine…
– Et alors ?
– Eh bien si vous le caressez un peu vous avez un sac de voyage…
C’est un jeune couple trop timide qui va chez le sexologue pour que les choses du sexe leur soient plus familières, et en particulier, pour qu’ils apprennent le langage du corps.
Après la première séances, les jeunes époux rentrent à la maison et s’apprêtent à passer à la pratique :
le mari dit à sa femme :
– Bon alors maintenant, quand je voudrai faire l’amour, je te caresserai le sein droit… Et quand je ne voudrai pas faire l’amour, je te caresserai le sein gauche.
Sa femme lui répond :
– D’accord. Et moi, comment je procède ?
Le mari répond :
– C’est simple : Si tu veux faire l’amour, tu caresses mon pénis une fois… Et si tu ne veux pas faire l’amour, tu le caresses 200 fois.
C’est une dame et un monsieur, mariés de puis déjà longtemps. Un soir que la dame est un peu nostalgique, elle dit à son mari :
– Ah, quand je pense que dans le temps, quand nous nous sommes connus, tu étais beaucoup plus gentil, beaucoup plus doux et beaucoup plus romantique.
L’autre lit le journal…
– Oui, rappelle-toi : quand on était jeunes mariés, le soir tu me parlais tendrement, tu me caressais le menton.
Le mari répond :
– Ouais ! Mais à l’époque t’en avais qu’un !
