blague canoë
La blague du canoë
C’est deux gonzesses, Lucette et Paulette, qui sortent d’un bar complètement bourrées par un soir de pleine lune.
Paulette dit :
– Hé Lucette, hé, j’ai tellement envie de pisser… je sens presque le goût dis-donc !
– T’as qu’à aller faire dans cette petite crique là-bas. Il y a personne.
Et Paulette s’en va éliminer son trop plein de liquide. Elle baisse son pantalon, s’accroupit et laisse son sphincter prendre du repos un moment. Puis regardant sous elle, elle dit :
– Hé Lucette… J’suis en train d’pisser dans un canoë !
Et sa copine Lucette lui répond :
– Mais non, t’es conne… C’est ton reflet !
La blague du canoë en peau humaine
Trois explorateurs s’enfoncent de plus en plus profondément dans la jungle encore inviolée, terrae incognitae.
Pas de chance, car après le troisième jour, ils sont capturés par la redoutable tribu, non pas des réducteurs de têtes, ni des cannibales, mais des faiseurs de canoës en peau d’explorateurs.
Pour être loyal, le chef de la tribu demande aux trois condamnés leurs dernières volontés.
Le premier, essayant de gagner un maximum de temps, leurs dit qu’il aimerait envoyer un e-mail à sa compagne. Le chef sourit, l’invite dans sa hutte et l’installe devant sa toute nouvelle dual-pentium pro workstation, dial isdn et 5 min. plus tard, le gars est éventré, sa peau lui est délicatement retirée pour en faire un canoë tout neuf.
Le deuxième, se creusant les méninges, leur dit qu’il aimerait toucher la lune. Le chef appelle ses deux meilleurs pagayeurs et les envoie dans le plus proche musée. Ils montent dans leurs canoës et deux jours plus tard, les voilà qui débarquent avec un échantillon volé de roche lunaire. Le type croyant avoir pu échapper à une mort certaine est écorché et sa peau est mise à sécher pour la fabrication d’un autre canoë.
Le troisième, grand sourire, demande au chef une fourchette :
– Quoi ?!? répondit-il.
– Vous pouvez me demander tout ce que vous pouvez imaginer et à la place vous voulez une fourchette !
Il s’en alla lui-même en chercher une à la cantine du coin. Il revint et tendit la fourchette au troisième mec.
– Voilà votre fourchette. Et maintenant vous allez mourir !
– Pas sûr !? dit le mec en levant très haut sa main qui tenait la fourchette.
– REGARDEZ C’QUE J’EN FAIS D’VOTRE CANOË !
Et il commence à se planter la fourchette partout sur le corps.