blague cambouis

La blague des genoux du mécano

Dans un train bondé, un voyageur propose à une jolie femme qui ne trouve pas de place :
– Voulez-vous que je vous prenne sur mes genoux ?

Exténuée, depuis le temps qu’elle voyage debout, elle accepte. Après un certain moment, le monsieur dit :
– Vous, je parie que vous travaillez dans un salon de coiffure.
– En effet, mais à quoi voyez-vous cela ?
– Eh bien, d’abord vous êtes fort joliment coiffée. Et puis vos mains montrent que vous bénéficiez des soins d’une manucure.
– Excellente déduction. Et vous, est-ce que par hasard, vous ne travailleriez pas comme mécanicien dans un garage ?
– Ça, alors, c’est fantastique ! Comment avez-vous trouvé cela ?
– Je n’ai même pas eu besoin de regarder vos mains aux ongles cassés et noirs de cambouis. Il m’a suffi de constater que, depuis que je suis sur vos genoux, vous me soulever avec votre cric.

Devenir pianiste compositeur

– Comment, demande un critique à un compositeur, avez-vous acquis ce style qui fait votre originalité ?
– Oh ! Cela remonte à mon enfance. Voyez-vous : mon père était garagiste et j’adorais aller patauger dans le cambouis. Mais, quand je rentrais du garage, les mains atrocement sales, et que je m’installais au piano, ma mère ne me permettait de jouer que sur les touches noires. J’ai conservé cette habitude pour composer mes vingt-sept symphonies.

La robe noire anti-taches

– Vous mettez votre robe noire, s’étonne la belle-mère. Vous allez à un enterrement ?
– Pas du tout, répond la bru, en riant. Je me méfie simplement des taches, en allant rechercher la voiture que j’ai donnée à réparer à ce mécanicien charmant qui a toujours les mains pleines de cambouis.