Dans un cabinet d’avocat, j’ai vu cette illustration qui résume bien le sentiment général au sujet de cette profession.
L’illustration montrait deux hommes qui se disputaient une vache, l’un tirant l’animal par les cornes, et l’autre par la queue.
L’avocat, lui, était représenté en train de traire la vache…
Un pédiatre sur lequel un garnement vient de vider son pistolet chargé d’encre rouge, dit à la mère qui a amené l’enfant en consultation :
– Certes, je vous conseille, pour son équilibre psychique, de le laisser pleinement s’exprimer, par n’importe quel moyen, mais uniquement une fois qu’il est sorti de mon cabinet !
– Je crois que nous avons enfin trouvé un bon vétérinaire. Lors de notre seconde visite à son cabinet avec notre chien Murphy, il l’a caressé et lui a dit : « Alors mon vieux Murphy, comment ça va ? ». Puis, se tournant vers moi, il m’a demandé avec un rien d’embarras dans la voix : « Madame, voudriez-vous avoir l’obligeance de me rappeler votre nom ? »
Un médecin, terriblement myope, casse ses lunettes au moment où son assistante fait entrer une dame dans son cabinet. Complètement dans le brouillard, il écoute sa cliente décrire ses symptômes puis lui ordonne de se déshabiller. À tâtons, il entreprend de l’examiner :
– Oh ! Oh ! fait-il, je n’aime pas ça. On sent beaucoup trop vos côtes.
– Voyons, docteur, dit la patiente, soyez sérieux ! Et cessez de vous amuser avec ce store vénitien.
