blague bus

Une petite jupe bien trop serrée

C’est une jeune femme qui porte une petite jupe ultra serrée. Elle doit prendre le bus, et pour cela, il lui faut monter les marches…

Le problème est bien là : La jupe est tellement serrée que qu’elle n’arrive pas à les enjamber… Alors elle porte la main derrière elle et baisse un peu la fermeture éclair.

Elle essaie encore d’enjamber, mais n’y parvient toujours pas : Du coup, elle repasse une main derrière elle et abaisse encore la fermeture. Ensuite elle réessaie de franchir les marches… ça ne veut toujours pas passer.

Alors, au moment où elle s’apprêtait à rejouer de la fermeture éclair, une paire de mains vigoureuses l’empoigne à la taille et la porte jusqu’à la marche supérieure du bus !

« Non mais, ça ne va pas ! Qui vous a permis ? » demande la jeune femme au gars derrière elle.

« Eh bien, la deuxième fois que vous avez baissé ma braguette, je me suis dit qu’on se connaissait suffisamment ! »

Les deux vieilles sur un banc

Deux vieilles sont assises sur un banc et attendent le bus.

Mais le bus est en retard et le temps passe. Au bout d’une heure, une des vieilles se tourne vers l’autre et dit :
« Tu sais, c’est marrant… ça fait tellement longtemps qu’on est là à attendre assises que j’ai le derrière tout endormi ! »

Et l’autre se retourne vers elle et répond :
« Ouais, je sais ! Je l’ai entendu ronfler ! »

Le jeune immigré et le bus à Paris

C’est un jeune immigré qui prend le bus pour la première fois à Paris. Tout à coup le bus ralentit et le contrôleur crie :
– Franklin Roosevelt !
La porte s’ouvre et un monsieur descend. Le jeune immigré est très étonné.

Le bus continue, le contrôleur crie :
– Charles de Gaulle !
Là il y a un curé qui descend. L’immigré regarde et il est de plus en plus stupéfait.

Et ça continue. Station suivante :
– Georges Clemenceau !
Là, c’est un vieux monsieur qui descend.

Alors l’immigré va voir le contrôleur et lui demande :
– Comment je vais faire pour descendre, moi, tu ne connais même pas mon nom !

Les ivrognes, les bus et l’agent de police

Deux ivrognes déambulent dans les rues de Paris. Soudain, l’un d’eux aperçoit un agent de police.
– Pardon, Monsieur… hips… l’agent. Le 72 est déjà passé ?
– A cette heure-ci, il n’y a plus de bus, voyons ! répond sèchement le policier. Allez, circulez !
– Et le 86, il est passé ?
– Je vous dis qu’il n’y a plus de bus !
– Il est passé, alors ?
– Oui ! le 86 est passé ! et le 72 aussi !
– Et le 27 ?
– Le 27 aussi ! et le 12, et le 32 ! Je vous dis de circuler ! Il n’y a plus de bus !!

Alors l’ivrogne se tourne vers son copain :
– Viens mon pote. On peut traverser.