blague brebis
Médecine pastorale
Un berger qui passait l’été avec son troupeau de brebis à l’alpage descend paniqué dans la vallée et fonce dans le cabinet du médecin. Le docteur lui demande ce qui se passe :
– Docteur, je pense que j’ai attrapé une maladie vénérienne ! lui avoue le berger.
– Bon, nous allons voir ça.
Le médecin lui dit de se déshabiller et l’examine. Quelques minutes plus tard, il dit au berger de se rhabiller.
– Et bien voilà. J’ai trouvé ce que vous aviez, lui dit le docteur. Rassurez-vous, ce n’est pas une maladie vénérienne… Vous êtes simplement devenu allergique à la laine !
Un village de zoophiles
Le vieux curé d’un petit village au fin fond de la Corrèze vient de mourir subitement.
L’évêché envoie un jeune prêtre pour le remplacer. À l’approche du village, le jeune curé dans sa Renault 4 a l’oeil attiré par une scène incroyable qui se passe dans un pré jouxtant la route.
Dans ce pré, deux hommes sont en train de baiser chacun une brebis frénétiquement !
Mais ce n’est pas tout : à quelques pas de ces deux hommes, sous un arbre, un autre est en train de les regarder en se masturbant…
Effaré, le jeune curé poursuit sa route, non sans avoir fait quelques prières et autres signes de croix, et en se promettant de dénoncer cette zoophilie dès son premier sermon.
Le dimanche arrive. Le jeune curé commence son sermon :
« Alors que j’arrivais tantôt pour la première fois aux abords de ce village, je fus le témoin d’une scène contre-nature… d’une véritable abomination. En effet, à quelques centaines de mètres d’ici, deux hommes étaient en train de copuler avec des moutons ! OUI ! Vous avez bien entendu : des MOUTONS ! (j’ose espérer que c’étaient des brebis !)… Et chose encore plus incroyable, un autre homme, témoin de cette scène de fornication était en train de se masturber, comme si cette vision pouvait provoquer une quelconque excitation sexuelle ! »
À ce moment du sermon, une voix masculine rigolarde résonne du fond de l’église :
« Ça d’vait être l’Mathieu !… L’est bin trop fainéant pour attraper un mouton ! »