La blague du parachute de Bouddha

blague parachute, blague Bouddha, blague accident, blague sauvetage, blague miracle, blague Dieu, humour drôle

C’est l’histoire de ce gars qui a décidé de vaincre sa peur et de réaliser ce qu’il a toujours rêvé de faire : sauter en parachute.

Il se rend donc à l’aérodrome le plus proche et rencontre les gars du club de parachutisme. On lui apprend à tout faire dans les règles comme comment sauter, comment replier un parachute, comment atterrir, comment se diriger, etc.

Et puis finalement, vient le moment de faire le grand saut. Juste avant de monter dans l’avion, l’instructeur lui fait passer en revue ce qu’il doit savoir. Le gars énumère :
– D’accord. D’abord je saute, puis je compte jusqu’à 30, puis je tire la poignée d’ouverture.

L’instructeur le coupe :
– Et si ça ne fonctionne pas ?
– Dans ce cas je tire sur la poignée qui commande le ventral.
– Très bien. Mais maintenant je vais te dire ce qu’il te faudra faire si jamais ça non plus ça ne marche pas: tu diras « O grand Bouddha, Je crois en toi ! »
– « O grand Bouddha » ? Mais je ne suis pas bouddhiste. Qu’est-ce que ça pourra bien faire que je dise « O grand Bouddha » dans cette situation ?

L’instructeur lui répond :
– J’en sais rien, mais de toute façon puisque tu ne seras plus bon qu’à te crasher au sol, quelle différence cela fait, hein ?

Ensuite ils montent en avion, l’avion atteint l’altitude prévue pour le saut, et le gars saute. Il compte jusqu’à 30 et tire la poignée… RIEN. Il tire sur la poignée du ventral… RIEN non plus. Alors voyant la terre s’approcher à pas loin de 200 km/heure, et sachant que de toute façon il mourra, il lève les yeux au ciel et dit « O grand Bouddha »… Et là, MIRACLE, une gigantesque main surgie de nulle part le réceptionne en douceur et vient le déposer extrêmement délicatement sur le sol…

A peine le gars a-t-il les deux pieds sur la terre ferme qu’il tend ses bras vers le firmament en invoquant « Sois loué Seigneur ! »

Et instantanément, la gigantesque main se referme en un gigantesque poing qui l’écrase comme une crêpe.