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La blague du petit garçon au bordel

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C’est le père qui se promène avec son fils (6 ans):

– Papa, papa, c’est quoi, ça ?
– Ça, c’est une mercerie.
– Et qu’est-ce qu’on y fait ?
– On y vend des boutons, du tissus,…

– Et ça, qu’est-ce que c’est ?
– Ça, c’est une boucherie.
– Et qu’est-ce qu’on y fait ?
– On vend de la viande.

– Et ça qu’est-ce que c’est (il montre un bordel) ?
– Je te le dirai quand tu seras plus grand !

Alors, intrigué, le petit va casser sa tirelire et se pointe au bordel et sonne.
La maquerelle lui ouvre et le fait vite entrer pour pas qu’on le voie devant cette porte. Elle appelle une de ses filles et lui dit de préparer quelques tartines de Nutella pour le petit garçon

Le père rentre à ce moment-là du travail et s’étonne de ne pas voir son fils à la maison. Il repense à la dernière question de son fils. Il décide d’aller voir. Quand il arrive devant le bordel, il voit son fils ressortir avec un sourire jusqu’aux oreilles.

Le père :
– Tu n’as pas honte, espèce de morveux. Qu’est-ce que t’as fait là-dedans.
Le fils :
– Je m’en suis tapé 5, la 6ème je pouvais plus, alors je l’ai léchée.

La blague de Staline et Pierre le Grand

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Staline est mort, et arrive dans l’autre monde, ou il rencontre Pierre le Grand. Celui-ci lui demande :
– Alors, qu’as-tu fait de ma Russie ?
– Je l’ai rendue plus forte que jamais !
– Très bien ! Il y a toujours l’armée ? Et la police secrète ?
– Bien sur que oui !
– Les compagnies de cosaques ?
– Bien sur !
– Les tours du Kremlin ?
– Toujours ! Et en parfait état !
– Bien ! Et la Vodka, toujours à 38 degrés ?
– Non, quarante !

Alors étonné, Pierre le Grand regarde Staline, et lui fait :
– Deux degrés de différence ?! Et c’est juste pour deux malheureux degrés que vous avez foutu tout ce bordel !?

La vente au enchères du bordel

La police fait fermer un bordel. Et tout ce qu’il contenait – mobilier, tableaux, tapis, verrerie, etc. – est vendu aux enchères. Même le perroquet, qui était depuis de longues années la mascotte de l’établissement.

Arrive son tour. Le commissaire-priseur dit :
– 20 euros au fond pour ce superbe oiseau ! 40 euros à gauche ! 80 à ma droite ! 80 une fois…80 fois… Personne ne dit mieux ?

Alors le perroquet s’écrie :
– Pour 20 euros de plus, je me fous à poil !

La blague de la chamelle du colonel

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Le colonel Dugenou prend ses fonctions dans une place militaire de l’Atlas. Ali, son aide de camp lui fait visiter les lieux. Puis, une fois à l’écart :
– M’sieur le colonel, ti sais, les hommes ji sais ce que c’est. Si ti a besoins, j’ti prête la chamelle.
– Ali, je suis colonel de l’Armée Française ! Je suis capable de me contrôler.
– Comme ti veux M’sieur l’colonel.

Un mois se passe. Ali voit bien que le colonel, bien qu’il soit de l’armée française, n’en est pas moins un homme. Il lui propose à nouveau la chamelle. et celui-ci refuse, mais avec moins de véhémence.

Un autre mois se passe. Le colonel finit par trouver Ali pour lui demander la chamelle. Il part à l’écart du camp, fait s’asseoir la chamelle, se déculotte, se place derrière la chamelle, mais celle-ci se lève et fait quelques pas. Il trottine, pantalon sur les chevilles, rejoint la chamelle, se remet en position, et celle-ci avance à nouveau.

Le manège se poursuit, et au détour d’une dune, il rencontre Ali, plié de rire :
– Tu trouves ça drôle Ali ?
– M’sieur l’colonel ti as pas compris ! La chamelle, c’est pour aller au bordel !!!

La blague de Toto au bordel

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Toto se promène dans la rue avec son papa. Ils passent devant une maison bizarre, avec des fenêtres aux tentures fermées, des néons dans l’entrée, etc…

Toto :
« Papa, c’est quoi la maison, là ? Hein papa, c’est quoi ? »

Le papa, ennuyé :
« Ce n’est rien, ce n’est pas pour les petits garçons sages. Tu sauras plus tard ce que c’est. Viens, on continue la promenade ».

Revenu à la maison, Toto ne peut résister à la curiosité. Profitant d’un manque d’attention de son papa, il prend un billet de 100 euros dans le portefeuille familial et sort discrètement. Quelques minutes plus tard, il est dans le hall de la grande maison avec des tentures et des néons colorés. Une dame en petite tenue se tient derrière un comptoir.

Toto :
« BONJOUR Madame, excusez-moi de vous déranger : Voici 100 euros, et j’en voudrais pour mon argent ! ».

La dame, ennuyée, demande à Toto de patienter quelques instants. Elle se rend dans une pièce à l’arrière où se trouve le « patron ».

La dame :
« Dis, Giuseppe, il y a un gamin à l’entrée ; il m’a donné 100 euros et il m’a dit qu’il en voulait pour son argent. Qu’est-ce que je fais ? »

Giuseppe :
« Il est sans doute victime d’une blague de copains plus âgés… Tu te souviens des crêpes qu’on a faites avant-hier. Il y en a encore quelques-unes au frigo. Réchauffe-les en vitesse, donne-les lui et rends-lui 95 euros. Il sera content et il partira ».

La dame s’exécute, amusée…

Revenu à la maison, Toto tombe sur un papa furieux. Il le cherche partout depuis une heure et il s’est aperçu du vol dans son portefeuille.

Le papa
« Toto, où étais-tu ? »

Toto :
« J’étais dans la grande maison avec des tentures et des lampes de toutes les couleurs. »

Le papa, très inquiet et craignant le pire pour l’innocence du fiston :
« Et qu’est-ce que tu as fait dans cette maison ? »

Toto :
« Papa, c’était fantastique ! Quel service ! J’ai donné 100 euros, on m’a rendu 95 euros. J’en ai eu 8, et il y en a 4 qui étaient tellement chaudes que j’ai dû les finir sur le trottoir ! »