blague bicyclette
Le Belge et le vélo français
C’est l’histoire d’un français qui veut tester sa supériorité sur les Belges. Alors, il se rend en Belgique à vélo et s’arrête à une pompe à essence.
– Bonjour Monsieur, qu’est-ce que je peux une fois faire pour vous ?
– Le plein s’il vous plaît.
Le Belge fait le plein et le français plié en deux de rire lui demande de vérifier les pneus. Le Belge s’exécute avec sa gentillesse légendaire et le français en rit de plus belle.
Il lui demande de laver le pare-brise. Le Belge nettoie le guidon du vélo et le français mort de rire règle le pompiste et veut s’en aller lorsque… il reçoit une gifle magistrale. Ne rigolant plus, il demande pourquoi.
– Ben, j’ai fermé la portière une fois, Monsieur.
La blague des curés à vélo
Deux curés de campagne à bicyclette faisaient la tournée de leurs ouailles. Le premier était sorti major de sa promotion du grand séminaire, tandis que le deuxième ayant triplé ses trois années, ne devait son ordination qu’à la bourse rebondie de sa tante Adèle, qui avait beaucoup à se faire pardonner. Or donc voici nos compères sur la route, pédalant de concert en égrenant leur chapelet. Il advint que le chemin délaissant la plaine, montait de plus en plus fort vers le paradis, à l’assaut d’un col de première catégorie.
Notre curé intello sentit bien vite une extrême fatigue l’envahir, bientôt transformée en de multiples crampes, qui lui auraient arraché des gémissements de douleur à chaque coup de pédale, s’il ne se donnait un peu de cœur à l’ouvrage :
– Plus près de toi, mon Dieu…
Au même moment, le deuxième curé s’envolait sur sa bicyclette, ne ressentant ni fatigue, ni douleur d’aucune sorte. Il montait, montait, montait…
Moralité : c’est l’abbé bête qui monte, qui monte, qui monte.