blague belle-fille

Lettre au patient de ma belle-fille

(À lire avec l’accent napolitain).

Mon cochon, mon porcinet des malheureuses bienveillances hospitalières,

Si la prochaine fois que ma belle-fille, jeune et pure créature en stage de diététique dans le service de santé qui a eu la bonté inconsciente de t’accueillir en son sein, te trouve à nouveau, lors de sa consultation, nu comme un vers sur ton lit, je crains que le Vésuve, calme jusqu’ici, ne se réveille pour aller gronder jusqu’à tes vilaines escalopes.

Si tu exhibes à nouveau devant elle tes virils oripeaux, le scrotum flapi, la nouille flageolante mais les cuissots ouverts comme un DSK sous perfusion, l’œil visqueux et le prépuce rosi d’orgueil, permets-moi de t’annoncer que je vais, moi, top chef du marron cacochyme déglacé, te préparer un menu spécial haute diététique sur mon piano à pervers pépère.

Un mix savant de découpe russe et de boulettes suédoises, du nordique revisité façon KGB en goguette, composé d’une paire de sphères à base de viande du troisième âge en émulsion de poils en frisure.

Connais-tu la cafétéria d’Ikea ? Mon ami, je te l’apporterai à domicile, en service à la carte, en kit personnalisé, à démonter soi-même du dentier et des sucs gastriques.

Et tu en regretteras, malgré l’admirable délicatesse de ma cuisine doublement étoilée dans le guide du Slip Français, la rustique simplicité de la gastronomie des hôpitaux.

Je te quitte mon pépère et te souhaite prompt rétablissement, car je crois que nous nous sommes compris. Mais je garde la recette vigilante et la cassolette en éveil, sois-en certain.

Don Glone

photo de Glon brandissant une vielle scie rouillée
11 février 2018 – Lettre au patient de ma belle-fille

#balancetonzguègue #mangetaboulette #vieillescierouillée
(caricature de Glon)

Devine quelle est ma future femme

Jacob a décidé de se marier mais avant de faire sa demande il veut en parler à sa mère…
– Tu sais Maman, j’ai rencontré une fille superbe, je voudrais l’épouser mais j’aimerais quand même que tu la rencontres avant.
– Oui, si tu veux mon fils. dit la mère.
– Voilà ce qu’on va faire : répond Jacob. Samedi prochain, je vais venir avec trois copines. Une d’elle est la femme que j’aime. Je ne te dis pas laquelle et on en parle après, d’accord ?
– Oui, si tu veux mon fils. dit la mère.

Samedi arrive, Jacob vient avec ses trois copines toutes belles, intelligentes etc. Le dîner se passe, les filles partent.
– Alors Maman, dit Jacob, est-ce que tu penses avoir trouvé laquelle est la femme de ma vie ?

Et la mère répond :
– Ce ne serait pas celle qui avait la robe bleue ?

Jacob stupéfait :
– C’est bien elle. Mais comment as-tu fait ? Elles sont toutes les trois superbes, gentilles, etc. Comment as-tu fait pour l’identifier tout de suite ?

Et la mère répond :
– J’sais pas… J’ l’aime pas !

Le mariage : deux poids, deux mesures !

Deux amies se rencontrent après plusieurs années.
– Et tes enfants, ils doivent être grands ?
– Oui, ils sont mariés tous les deux. Mon gendre est très bien, il apporte son café au lit à ma fille, fait tout ce qu’elle veut et lui a même acheté un beau manteau de fourrure !
– Et ton fils ?
– Oh, lui, il n’a pas de chance. Sa femme est une paresseuse et une dépensière. Il faut qu’il lui apporte son café au lit, qu’il fasse tout ce qu’elle veut. Il a même dû lui acheter un manteau de fourrure !