blague Belge
Cinéma, une fois…
C’est un belge qui rentre à la maison le samedi midi après le travail et qui crie à sa femme :
– Alleye Greta, habille-toi vite, on sort pour quatre mariages et un enterrement !
– Tout de suite ? Mais qui est-ce qu’on enterre ? Et qui est-ce qu’on marie ? En plus je n’ai acheté aucun cadeau. Tu aurais pu me prévenir !
– Mais c’est donc bien vrai que tu es bête ! Quatre mariages et un enterrement, c’est le titre d’un film !
– À ta place, je ferais moins le malin ! Parce que la dernière fois qu’on est sortis pour aller voir le Lac des Cygnes, tu es parti avec tes cannes à pêches !
Le fusil qui se casse
Les perles : la police
Soucieuse d’être en conformité avec la législation française, une citoyenne belge demeurant en France appelle la gendarmerie pour savoir si l’arme de son mari est soumise à déclaration. A la question du gendarme lui demandant si le fusil de son époux se « cassait », la personne rétorque, indignée : « Ah non, monsieur ! C’est de la qualité, il est en bois et en fer ! » Ah, cruelles subtilités de la langue française !
Kidnapping sur autoroute
Les perles : la police
Un couple d’automobilistes belges fait une pause sur une aire d’autoroute pour assouvir un besoin urgent. Le conducteur, impatient de continuer son voyage, se dirige vers les toilettes pour dames et appelle en vain sa femme.
C’est alors qu’il aperçoit une personne, ressemblant à sa moitié, qui monte dans un véhicule et reprend la route. Pris de panique, il prévient la gendarmerie du kidnapping de son épouse.
Pendant ce temps, Madame, qui s’était trompée de bloc sanitaire, s’époumone, coincée dans les toilettes pour hommes. Délivrée par des automobilistes eux aussi pressés, elle constate la disparition de son mari et prévient la gendarmerie.
Grâce à l’intervention rapide de deux unités, les époux réunis ont poursuivi leur périple.
La blague des grandes gueules
En Écosse, à Gretna Green, le mariage est un peu une industrie. C’est là que l’on peut se marier à l’ancienne, devant un forgeron et sans avoir à publier les bans bien évidemment ! Un peu comme Las Vegas, mais en plus romantique donc.
Un certain soir, un Suisse qui s’était présenté dans l’après-midi devant le forgeron avec une jeune fille arrive à l’hôtel pour célébrer sa nuit de noces.
C’était la première fois qu’il allait faire l’amour à sa partenaire… Il ne l’avait même jamais vue complètement nue.
Au moment de se déshabiller, le Suisse observe d’un œil gourmand son épouse, et il constate avec ravissement ce qu’il avait subodoré : ses seins sont énormes ! Emporté par son enthousiasme, le mari complimente sa femme : « Waow, tu as des seins gigantesques ! ».
Mais, grave erreur, l’épouse faisait depuis son adolescence un grave complexe sur la taille de ses mamelles, et elle le prend très mal : le mari est envoyé manu militari dans le couloir de l’hôtel, avec une couverture dans les bras, et basta.
Le pauvre homme se résigne et pour calmer le jeu, il se couche devant la porte en s’enveloppant dans la couverture. Il va s’endormir lorsqu’un homme s’approche, lui aussi est en pyjama avec une couverture sous le bras et il entame la conversation. C’est un Belge qui s’est retrouvé lui aussi mis à la porte par son épouse pour la nuit.
– Alors vous aussi, vous lui avez fait dit quelque chose qu’elle n’a pas apprécié ?
– Oui, exactement, répond le Belge, c’était la première fois que je voyais ma femme toute nue, et lorsque j’ai vu son bon gros derrière, j’étais fou d’excitation, je lui ai dit : « Hmmm, laisse-moi mettre les mains sur ton gros popotin », et voilà comment je suis arrivé ici.
Le Belge s’installe à côté du Suisse et quelques minutes plus tard, ils sont rejoints par un Français, en pyjama avec sa couverture sous le bras. Le Suisse lui dit en rigolant :
– Alors, comme ça toi aussi tu as mis les pieds dedans ?
– Non, répond le Français, mais, c’est sûr que j’aurais pu sans aucun problème…