blague bégaiement

La femme belge disparue

C’est un belge qui se présente au commissariat de police :
– Voilà, ma femme est partie il y a deux jours, elle m’a dit qu’elle allait se suicider. Je viens voir si vous n’avez pas retrouvé son corps…
– Je vais téléphoner à la morgue, lui répond l’agent. Est-ce qu’elle avait un signe particulier ?
– Oui, elle était bègue !

La lapine du bègue qui part en vacances

C’est l’histoire d’un bègue qui part en vacances. Avant de partir, il confie sa lapine à l’une de ses amies.

En rentrant de vacances, il va rechercher sa lapine, et tombe sur le mari de son amie. Celui-ci, client assidu d’un bordel du quartier, vient d’attraper une chaude pisse carabinée.
– Sa-salut ! ça-ça va ?
– Oh ben, à peu près. Et toi ?
– Oh b-b-ben ça-ça va. Dis, t’as ma la-lapine ?
– Oui, mais comment tu le sais ?
– B-ben, je l’ai re-refilée à ta-ta femme avant d’pa-partir.

La blague du bègue vendeur de bibles

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C’est un gars qui vend des bibles en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les bibles à sa place. Trois candidats se présentent :

Le premier lui dit :
– Je VEUX vendre des bibles pour VOUS !
– C’est d’accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles !

Le second arrive et dit :
– Je VEUX vendre des bibles pour VOUS !
– C’est d’accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles !

Le troisième entre et dit :
– Je v-v-v-v-eux ven-ven-ven-dre d-d-d-des bi-bi-bi-bi-bibles p-p-p-pour v-v-v-vous
– Non mon gars. Je ne peux pas te prendre. Jamais tu n’arriveras à me vendre une bible. Laisse tomber !
– M-m-m-mais j’ai vr-vr-vrai-vrai-vraiment be-be-be-besoin de-de-de ce tr-tr-tr-tra-tra-travail !

Comme il n’y a plus de postulant pour le poste, le nouveau patron accepte de prendre le bègue à l’essai :
– Tiens, voilà un carton de bibles, prend le et va me vendre toutes les bibles que tu peux.

A la fin de la journée, les vendeurs rentrent à la base …

Le premier dit :
– J’ai vendu 8 bibles aujourd’hui.

Le second dit :
– J’ai vendu 11 bibles.

Le bègue dit :
– Auj-auj-auj-j-j-jourd’hui j-j-j-j’ai ven-ven-ven-vendu vingt-vingt-vingt-huit bi-bi-bi-bibles.

Le patron répond :
– SUPER les gars. Mais demain, j’attend de vous que vous me vendiez beaucoup plus de bibles que ça. Aujourd’hui c’était l’entraînement, demain, c’est la compétition !

A la fin de la deuxième journée, le premier vendeur est au rapport :
– J’ai vendu 32 bibles !

Le second dit :
– J’ai vendu 44 bibles !

Le bègue arrive et dit :
– Auj-auj-auj-j-jour-jour-jour-jourd’hui j-j-j-j’ai ven-ven-ven-vendu soi-soi-soi-xan-xante-dix-dix-dix-neuf
bi-bi-bi-bibles.

Le boss répond directement au bègue :
– Fantastique ! je me demande vraiment comment vous parvenez à vendre quasiment deux fois plus que les deux autres vendeurs ! Je serai curieux de connaître votre technique de vente…

Alors le bègue répond :
– Je-je-je-je les-les-les ab-ab-aborde sim-sim-sim-ple-ple-plement et j-j-j-je leur d-d-d-deman-demande s-s-s-s-si ils v-v-v-veulent qu-qu-que j-j-j-j-je l-l-l-leur v-v-v-v-v-vend-d-d-de une b-bi-bi-bi-bibl-bl-bl-bible ou s-s-s-si ils v-v-v-v-veul-l-l-veulent qu-qu-qu-que j-j-j-je l-l-leur LISE un pa-pa-pa-pa-ssa-ssa-ssa-ge ?

La méthode de vente du bègue

C’est un gars qui vend des brosses à dents en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les brosses à dents à sa place. Un candidat bègue se présente :

Le bègue :
– J-j-j-j-je v-v-v-voud-d-d-drais v-v-vend-d-d-dre d-d-des br-brosses à dents p-p-pour v-v-vous !

Le boss :
– Ah ça , pas question mon gars, tu as un sérieux problème d’élocution tu sais…

Le bègue :
– Allez p-p-p-patron l-l-l-laiss-ssez moi ess-ss-ssayer…

Le patron :
– Ok essaie si tu veux. Voilà le matériel.

Le lendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton ! D-d-d-donnez moi d-d-d-dix c-c-c-cartons !

Le surlendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cinq-qu-qu-quante c-c-c-cartons !

Le surlendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cent c-c-c-cartons !

Le boss :
– Dis-moi un peu, quel est la raison de ton succès ? Quelle est la méthode que tu emploies pour vendre autant de brosses à dents ?

Le bègue :
– C-c-c-c’est s-s-s-simple. J-j-j-j’installe m-m-m-mon m-m-mat-t-tériel au coin de d-d-d-deux rues t-t-très fr-fr-fréquentées… J-j-je met une p-p-p-pancarte « D-d-dégus-s-station d-de cr-cr-crevettes sauce p-p-piquante gr-gr-gratuite ». J-j-j-je m-m-m-mets à la d-d-d-disposition du p-p-p-public un bol de sauce et d-d-des cr-cr-crevettes. Les gens pr-pr-prennent une cr-cr-crevette, la trempent d-d-dans la sauce et goûtent… « Beuarh ! Cette sauce a le goût de merde ». qu-qu-qu’ils d-d-disent et j-j-j-je rép-p-p-pond :
« C-c-c’en est. J-j-j-je v-v-vous v-v-vend une br-br-brosse à d-d-dents ? »