blague banque

La blague du doigt de Rothschild

Papa Rothschild, le banquier, a son fils qui va bientôt se marier. Il le prend à part et lui dit :
– Simon, mon fils, je ne t’ai jamais parlé de la vie, il est temps de te faire certaines révélations. Connais-tu au moins les doigts de la main ?
– Oui papa, il y a l’index, le majeur, le…
– Non, non, ce n’est pas ça, écoute bien, Simon mon fils.
– Oui papa.
– Il y a le doigt du voyage, le doigt de la direction, le doigt de la jouissance, le doigt du mariage et le doigt de la distinction, Simon mon fils.
– Oui papa et quels sont-il ?
– Le doigt du voyage, c’est le pouce, celui que tu lève quand tu fais du stop… Le doigt de la direction, c’est l’index, celui que tu lèves quand tu veux montrer quelque chose… Le doigt du mariage, c’est l’annulaire, c’est dans celui-ci que tu glisses l’alliance, Simon mon fils… Le doigt de la distinction, c’est l’auriculaire, c’est celui que tu lèves quand tu bois une tasse de thé… Et enfin, le doigt de la jouissance, c’est le majeur, celui-là tu le mouilles dans ta bouche et tu comptes les billets, Simon mon fils.

Le vol du trou

Des malfaiteurs cambriolent une banque après l’heure de la fermeture et tombent sur le caissier penché sur ses livres comptables. Ils l’attachent, le bâillonnent, puis vident le coffre et les caisses. Au moment de partir, ils comprennent que le pauvre homme essaie de leur dire quelque chose à tout prix. L’un des cambrioleurs lui ôte son bâillon :
– Emportez aussi les livres, s’il vous plaît, j’ai un trou de 4.000 euros !

La blague de l’arnaque aux bijoux

Un homme arrive chez Cartier, Place Vendôme à Paris, en compagnie d’une jeune femme splendide, et ensemble, ils choisissent un bijou de 50.000 euros pour elle.

Au moment de payer, l’homme sort son carnet de chèques et, sans sourciller, le rédige. Le vendeur, lui, est un peu ennuyé car c’est la première fois qu’il voit ce couple à la bijouterie. L’homme s’aperçoit du malaise du vendeur et, avec beaucoup d’aplomb, lui dit :
– J’ai le sentiment, très cher, que vous pensez que ce chèque est peut-être sans provision, n’est-ce pas ?
– Heu… Et bien…
– Bien ! Voici ce que nous allons faire : vu qu’aujourd’hui c’est samedi et que ma banque est fermée, je vous propose que vous gardiez ce chèque ainsi que le bijou. Dès lundi, procédez à son encaissement et lorsque le paiement sera honoré, faites livrer le bijou chez Mademoiselle. D’accord ?

Le vendeur, rassuré, donne son aval à cette solution sans l’ombre d’une hésitation, assurant même, que la bijouterie prendrait à sa charge la livraison du bijou et qu’il s’assurerait en personne du bon déroulement de l’opération.

Le lundi matin, à la présentation du chèque à la banque, celui-ci est bien évidemment en bois !

En colère, le vendeur appelle le client qui lui répond :
– Mais ce n’est pas grave ! Cela ne vous a rien coûté et moi j’ai baisé tout le week-end ! Merci beaucoup pour votre collaboration et sans rancune !