blague avions

Les toilettes automatiques de l’avion

Ça se passe dans un avion, sur un vol long courrier.

Un pauvre homme ne peut plus se retenir. C’est la grosse commission qu’il lui faut faire et rapidement ! Le malheureux attend en vain depuis 10 minutes que les toilettes pour homme se libèrent, il n’en peut plus !

Une hôtesse, voyant la scène, lui dit :
– Les toilettes pour femmes sont libres. Allez y, mais ne touchez surtout pas aux boutons sur le mur !
L’homme acquiesce, se rue dans les toilettes, et se soulage enfin…

Ahh… Ça va mieux… Il découvre alors les fameux boutons sur le mur : trois blancs marqués « EC », « AC » et « PM », et un rouge « AAT ».

La curiosité s’empare de l’homme, « personne ne le saura » se dit-il…

Il presse le bouton « EC » et un petit jet d’Eau Chaude vient lui laver les fesses… Super !

Il essaye le second bouton, et un petit Air Chaud vient lui sécher le derrière… De mieux en mieux ! Les toilettes pour femmes sont épatantes !

Le troisième bouton libère du Papier Mollétonné qui lui caresse doucement le postérieur… Vraiment Extra ! Il presse alors le bouton rouge en espérant un nouveau plaisir…

l’homme se réveille à l’hôpital. Une infirmière est penchée sur lui…
– Mais que se passe-t-il ? J’étais dans les toilettes de l’avion…
– Je sais, répond l’infirmière. Vous avez pressé un bouton de trop: le bouton rouge, « AAT », est un Aspirateur Automatique de Tampax… Mais ne vous inquiétez pas, votre pénis est sous votre oreiller…

Dessin d'un homme qui vient de se faire arracher la bite à l'hôpital
Les toilettes automatiques de l’avion

L’accident d’avion transatlantique

– Quand, demande le président de la commission d’enquête au pilote d’un avion transatlantique, vous êtes-vous rendu compte que quelque chose clochait ?
– Eh bien, tant que j’ai vu des poissons tourner autour de nous, je ne me suis pas trop inquiété. Mais où j’ai commencé à paniquer, c’est quand un poisson-marteau et un poisson-scie ont uni leurs efforts pour tenter de pénétrer dans le cockpit.

Surtout pas de panique !

« Mesdames et messieurs, Mabuhay ! C’est votre commandant Biglang-awa qui vous parle. Nous sommes actuellement au dessus de la tranchée des Philippines. C’est dans cette zone que l’on trouve les plus grandes profondeurs de l’océan Pacifique. C’est aussi là que l’on trouve les plus féroces créatures des mers comme les requins tueurs, les barracudas, et beaucoup d’autres encore.

Maintenant, une dernière information : restez calmes et ne paniquez pas. Nos deux moteurs sont hors service et l’avion commence maintenant sa chute vers l’océan.

Veuillez endosser votre gilet de sauvetage. Nous allons tenter d’amerrir en catastrophe. Pendant ce temps, je voudrais que vous suiviez à la lettre mes instructions. Et pour commencer, répétez après moi : NOTRE PERE QUI ETES AUX CIEUX… »

Le conseil d’administration de la compagnie aérienne

Le directeur d’une compagnie aérienne a réuni son conseil d’administration, pour lui communiquer son rapport annuel sur la marche de l’entreprise.
– Vous connaissez tous, dit-il, le système en service sur les avions : en cas de dépressurisation, des masques à oxygène descendent vers les passagers pour permettre à ceux-ci de garder leur souffle. Eh bien, avant de vous présenter de façon détaillée l’état de nos pertes, je vais vous demander, pour que vous preniez la chose avec le sourire, de bien vouloir respirer très fort dans les masques qui viennent de descendre du plafond. Ceux-ci ne diffusent pas de l’oxygène mais un gaz hilarant.

Baratiner les hôtesses de l’air

Au moment où un Boeing venant des Etats-Unis va se poser à Roissy, un voyageur fait du baratin à une des hôtesses.
– Je m’appelle John W. Willoughby et je serai, pendant le week-end à l’Hôtel Raphaël, à Paris. Vous pourriez peut-être faire quelque chose pour moi.
– Je n’y manquerai pas, répond la jeune femme. Comme je serai, moi-même, à ce moment-là, à Buenos Aires, je ne manquerai pas de vous envoyer une carte postale.