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La blague du pilote amputé de guerre

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C’est un pilote de bombardier anglais qui se fait descendre par la D.C.A. allemande au cours de la Deuxième guerre mondiale. On l’emmène à l’hôpital où il s’avère que sa jambe droite a subit de très gros dégâts. Seule l’amputation permettra de lui sauver la vie. L’anglais reste stoïque lorsqu’on lui annonce la nouvelle, mais il demande simplement à ce que son membre amputé soit expédié sur le sol anglais. C’est pourquoi il demande aux allemands si un de leurs pilotes ne pourrait pas emmener la jambe dans le cockpit d’un avion pour le balancer au cours du prochain raid sur Londres.

Les allemands trouvant l’idée très amusante, la jambe est emportée dans un bombardier dès le lendemain.

Une semaine plus tard, il s’avère que la main du pilote anglais est sérieusement contaminée par un staphylocoque doré de la pire espèce. Une fois encore, la seule option est l’amputation. Comme la première fois, le pilote anglais est d’accord sous réserve que la main soit balancée sur le sol anglais.

Et le lendemain, la main est balancée en même temps que les bombes au dessus de Londres.

Mais deux semaines plus tard, c’est la deuxième jambe du pilote qui donne des signes de faiblesse. Le pilote anglais s’apprête déjà à donner son accord pour l’amputation, mais cette fois-ci, les autorités militaires allemandes répondent « NON, pas question ! »

Le pilote anglais, perplexe, leur demande pourquoi ce revirement de situation. Et les allemands répondent :
– Nous pensons que vous cherchez à vous échapper.

La blague du premier vol du pilote belge

Assis à côté d’un pilote expérimenté de la SABENA, ce jeune pilote belge arrive au bout de son premier vol commercial. Il termine son approche sur la piste d’un aéroport qu’il ne connaît pas, et le vieux « loup des airs » lui dit :
« Fiston, cet aéroport, je le connais bien, j’y ai perdu plusieurs copains. A croire qu’ils ont voulu économiser le bitume, mais leur foutue piste est pas franchement longue, alors pose toi assez tôt… »

Ruisselant de sueur, le jeune se cramponne à ses commandes. Les roues touchent le sol à la limite de l’herbe au début de la piste, le pilote inverse les réacteurs, écrase les freins, pose les pieds par terre… Les pneus fument… et l’avion s’arrête à moins d’un centimètre de la fin de la piste !

Le pilote se détend brusquement :
« J’y suis arrivé ! Non d’un chien j’y suis arrivé ! Ah ah ah ! Ah bordel, j’en reviens pas… C’est vrai qu’elle est courte cette p* de piste ! Mais alors, qu’est-ce qu’elle est large ! »