blague avion

La compagnie des nageurs

Un avion est perdu en pleine tempête. Soudain, l’un des moteurs prend feu. Quelques minutes plus tard, l’appareil s’abîme en mer et la voix du commandant de bord annonce dans les haut-parleurs :
– Mesdames et messieurs les passagers qui savent nager sont priés de se masser dans la partie droite de la carlingue. Ceux qui ne savent pas nager resteront dans la partie gauche. Maintenant, les passagers de droite, sautez et nagez en direction de la petite île que vous devez apercevoir par les hublots. Quant aux passagers de gauche, nous les remercions d’avoir choisi de voler sur notre compagnie.

L’aviation soviétique

Un homme convaincu par le régime soviétique essaie d’entraîner avec lui son meilleur ami :
– Je te dis que c’est formidable, Boris. C’est le seul moyen pour qu’on s’en sorte. Et tu verras, dans cinq ans, tout le monde aura son avion particulier, et toi aussi.
– Mais qu’est-ce que tu veux que je fasse avec un avion particulier ? lui répond Boris.
– Mais tu ne te rends pas compte ? Tu pourras aller où tu veux avec. Tiens, imagine que tu apprennes qu’il y a une distribution de lait à Leningrad. Eh bien, tu montes dans ton avion et tu y es avant tout le monde.

Le fou d’avions

Un psychiatre reçoit la visite d’une femme du monde effondrée.
– C’est affreux, docteur, mon mari se prend pour un Airbus.
– Ce ne sera pas grave, madame, répond le psy. Mais pour le soigner, je dois le voir. Pourquoi ne l’avez-vous pas amené ?
– Impossible, docteur, répond la dame, il vient de se poser à Londres.

La blague du signe de croix

Un prêtre catholique et un rabbin voyagent côte à côte dans un avion. Les haut-parleurs grésillent et le commandant de bord commence par annoncer une petite avarie de moteur… Puis il ajoute que l’appareil va entrer dans une zone de turbulences… Finalement, il s’éclaircit la voix et conseille à tous les croyants de faire leurs dernières prières.

Le prêtre s’agenouille dans l’allée centrale et fait son signe de croix. C’est alors que, du coin de l’œil, il voit le rabbin se signer, lui aussi. Mais le mauvais moment passe. Chacun se rassied et le prêtre se tourne vers le rabbin, un petit sourire aux lèvres.
– Eh bien, dit-il, c’est tout de même vers notre Seigneur Jésus que vous vous tournez quand vous croyez votre dernière heure venue…
– Absolument pas, répond le rabbin en se tordant de rire. En cas de pépin, je me livre toujours à la même vérification.

Et il renouvelle son geste en l’illustrant :
– Binocles, couilles, pognon, cigares.