blague aveux
La blague des aveux des noces d’or

Samuel et Rachel viennent de fêter leur Noces d’or (50 ans de mariage).
Tous les invités sont partis maintenant et Samuel demande à celle qui l’a aidé et supporté toutes ses années :
– Dis-moi Rachel, maintenant, tu peux me le dire. Est-ce que tu m’as déjà trompé ?
– Pourquoi veux-tu savoir ça maintenant Samuel ? A quoi bon ?
– Si Rachel. Dis-moi, je veux savoir !
– Bon. Puisque tu insistes… Je t’ai trompé trois fois.
– 3 fois ? En 50 ans, ce n’est pas énorme. Raconte-moi quand cela était ?
– Et bien la première fois, c’était quand tu avais 35 ans et que tu voulais monter ton commerce d’import-export. Tu te souviens ? La banque ne voulait pas t’accorder de prêt… Tu te rappelles qu’un jour, alors que tout semblait sans espoir, le directeur de la banque lui-même s’est déplacé chez nous et qu’il a signé les papiers sans poser aucune question ?
– Oh Rachel, tu as fait ça pour moi ? Tu es une femme formidable. Dis-moi quelle était la deuxième fois ?
– Tu te souviens quand tu as eu cette troisième crise cardiaque, et que la seule chose envisageable pour toi était de tenter ce quintuple pontage coronarien, mais que personne ne voulait réaliser l’opération ? Et tu te souviens que sans qu’on comprenne pourquoi, le Pr. DeBakey est venu des États-Unis pour faire l’opération lui-même ? C’est grâce à lui que tu es à nouveau en bonne santé. Et bien là encore…
– Oh chérie. Tu m’as sauvé la vie. Quelle chance j’ai eu de t’épouser ! Et comme tu dois m’aimer pour t’être sacrifiée comme ça, sans hésiter… Et quelle était la troisième fois ?
– Tu te souviens quand tu voulais être Président du Lion’s Club et qu’il te manquait 35 voix pour passer…
La blague de l’épouse mourante

C’est une femme qui est à l’article de la mort. Son mari lui tient la main, près du lit. Le mari a des larmes qui coulent doucement le long de ses joues. Bref, c’est triste. La femme essaie de parler :
« Chéri… »
Le mari l’interrompt :
« Chut. Ne parle pas. »
Mais la femme insiste de sa voix fatiguée et chevrotante :
« Chéri, laisse-moi parler. Je dois t’avouer quelque chose… »
Le mari, tout en sanglots :
« Tu n’as rien à avouer. Tout va bien. »
La femme :
« Non tout ne va pas bien. Il faut que je t’avoue une chose sinon je ne pourrai pas mourir en paix : je t’ai trompé ! »
Le mari alors lui sert la main avec affection et répond :
« Ne te préoccupe pas de ça. Je suis au courant. Pourquoi t’aurais-je empoisonnée sinon ? »