– Monsieur l’imprésario, j’avale des sabres d’un mètre de long ! – C’est courant, mon cher. – Peut-être… Mais moi je ne mesure que quatre-vingt-dix centimètres.
Toto court en direction de sa mère : – Maman, nos voisins sont vraiment très pauvres. – Pourquoi crois-tu cela ? Demande sa mère. – Parce qu’ils sont en train de crier très fort parce que mon copain a avalé une pièce de 50 centimes !
– Docteur, mon fils vient d’avaler une pièce de deux euros ! – Ce n’est pas grave du tout madame ! – Pas grave, vous en avez de bonnes, vous ! Comment vais-je acheter le pain, maintenant ?