blague autochtone

Brigadier Underground – page 11

Le Brigadier s’engagea dans les rues grouillantes de monde de la cité souterraine, au milieu d’un souk fréquenté par une foule bigarrée et cosmopolite.

Les espèces s’y côtoyaient, s’interpellaient, s’invectivaient dans un mélange de dialectes mêlés de sifflements stridents et de claquements secs. Il régnait une forme de chaos organisé…

« Pas un seul Y.V.U.D. en vue, se dit le Brigadier, Il va falloir interroger les autochtones ».
(Dessin du 2 décembre 2024)

La blague de l’heure des couilles

Deux touristes parisiens se promènent dans le maquis corse. Et ils aperçoivent dans un champ un autochtone en train de faire la sieste couché à l’ombre d’un taureau. L’un des deux s’approche et demande l’heure. Alors le corse soulève les couilles du taureau et répond :
« Deux heures moins le quart ».

Bien entendu lorsque nos deux parigots raconte cela une fois rentrés a l’hôtel on ne les croit pas. Le lendemain ils sont donc accompagnés de deux amis qui veulent en avoir le coeur net. Donc même affaire le corse fait la sieste couché à l’ombre de son taureau. Et un des touristes va lui demander l’heure. Une fois de plus le corse soupèse les couilles du taureau et répond :
« Une heure et demi ».

Un des touristes à qui on ne la fait pas veut savoir le fin mot de l’histoire et va donc voir le corse :
– Excusez moi, mais est-ce que vous pourriez m’apprendre comment vous faites pour connaître l’heure en soupesant les couilles d’un taureau ?
– C’est simple je soulève les couilles du taureau car elles me cachent le clocher de l’église !