C’est un prévenu qui passe devant le tribunal correctionnel. Le juge demande au prévenu :
– Monsieur, au moment de votre arrestation par les policiers, vous portiez un revolver. Je vous pose donc une question : aviez-vous l’intention de tuer ?
– Absolument pas, monsieur le juge. Et je vais vous en donner immédiatement la preuve. Je porte sur moi tout ce qu’il faut pour commettre un attentat à la pudeur, et je peux vous assurer que je n’en ai même pas l’idée.
Un tatoueur reçoit la visite d’un homme qui lui explique :
– Je suis somnambule ; par conséquent, il m’arrive souvent, la nuit, d’être tiré du lit par une force irrésistible et de déambuler tout nu dans les rues. Cela m’a valu, plus d’une fois, d’être emmené au poste par des policiers qui m’accusaient d’attentat à la pudeur.
– C’est effectivement très ennuyeux pour vous, mais que puis-je pour vous être utile ?
– Je voudrais que vous me fassiez un tatouage représentant un caleçon à fleurs.
Deux jeunes lycéens venaient de se faire arrêter pour attentat à la pudeur, usage public et possession de marijuana… On les avait trouvés nus, bourrés, en train de fumer un joint dans la fontaine publique de la ville.
Le policier qui les avait ramenés au poste leur avait indiqué qu’ils pouvaient passer un coup de téléphone à leurs parents et qu’il les gardait au poste jusqu’à ce qu’on vienne les chercher.
À peu près trente minutes plus tard, un jeune homme fait irruption dans le commissariat. Le policier lui demande :
– Je suppose que vous êtes de la famille d’un de ces deux adolescents ?
– Heu… Non, pas du tout… Je suis venu pour leur livrer leur pizza…
