blague assoupissement

La blague du juré assoupi

Lors d’un procès pour viol, le procureur demande à la victime de lui répéter très exactement les paroles prononcées par son agresseur.
– Je ne peux pas, fait la malheureuse en rougissant. Je n’oserai jamais les répéter en public…
– Alors écrivez-les, dit le procureur.

La jeune femme accepte et griffonne quelques mots sur une page de carnet. Le procureur y jette un coup d’œil, passe la feuille au juge, qui demande aux jurés de la lire les uns après les autres.

L’un des jurés, qui s’était assoupi est ainsi réveillé par sa voisine, qui lui tend la feuille de papier. Le type se secoue, met ses lunettes et lit :
« Tous les deux, on va s’envoyer en l’air comme des animaux. »

Le juré, surpris, se tourne vers sa voisine, lui sourit, et met la page dans sa poche.
– Juré n°7 ! dit le juge. Pouvez-vous faire circuler cette feuille ?
– Oh non, monsieur le juge, répond le type en souriant. C’est trop personnel !

Cauchemar éveillé

L’histoire se passe à la grande époque de l’URSS. Un homme s’est assoupi sur un banc de la place Rouge. Quand il se réveille, il voit planté devant lui un agent de la milice. Alors, il s’écrie :
– Camarade, je t’assure, c’est une erreur. Je te jure que je ne rêvais pas !

Le souvenir du poteau

Les perles : les assurances

« Je me suis assoupli au volant de ma voiture, et à partir de là, je n’ai aucun souvenir, sinon que j’ai dû me laisser aller doucement et involontairement dans un poteau mal stationné. »